Point de vue d'expert sur la perte des convenances et les incivilités qui affectent les relations des entreprises avec leur clientèle et finit par les miner de l'intérieur.

Rester innovant, cela se cultive

Critique et autocritique de la classe politique marseillaise, par un possible futur maire de la ville.

L'échiquier moyen-oriental : la fin du statu-quo.

Pour cette sociologue spécialiste des identités, la montée des nationalismes est le véritable talon d'Achille du projet européen.

Analyse, en octobre 2011, de l'accélération du réchauffement climatique et son impact pour l'économie mondiale. Près de deux ans après le sommet de Copenhague qui devait aboutir à des engagements contraignants pour réaliser des efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre, l'impulsion de la lutte contre le réchauffement climatique connaît un frein. En l'absence de gouvernance planétaire possible pour l'instant, la France et l'Europe s'interrogent sur l'intérêt de conserver dans leurs priorités la transition vers une économie sobre en CO2. Les arguments ne manquent pas.

De la probabilité d'un sursaut "merkozien" pour une sortie de la crise par le haut, par un fin connaisseur de l'Allemagne et des politiques européennes.

L'intégration à la source de l'écologie en politique a échouée ?

Le point, en octobre 2011, sur le concept de la démondialisation au coeur des thèmes qui font débat dans le cadre des élections présidentielles françaises de 2012. Un sujet derrière lequel se cache la question du protectionnisme. Mais alors que la mondialisation heureuse n'existe pas et que le protectionnisme pur et dur n'est pas la solution miracle aux problèmes de compétitivité, la régulation du libre-échange semble nécessaire. Explications et détails à travers le point de vue d'économistes.

Le point sur ce que les artistes voudraient bien voir changer sans toujours oser le formuler, par un iconoclaste de la profession.

Comme Bartleby, le personnage imaginé par Herman Melville, les indignés de Wall Street ont décidé de ne plus jouer le jeu. ″Would prefer not to″, s'était mis soudain à répondre à ses supérieurs déstabilisés cet employé jusque-là modèle d'un cabinet d'avocats de Wall Street dans le roman. A Manhattan et ailleurs, les jeunes gens de classe moyenne, futures forces vives de l'économie, ont décidé, eux, d'occuper la rue et ce n'est pas non plus ce que l'on attendait d'eux. D'où le malaise.

Engrenage fatidique, contre-feux problématiques.

Rencontre, en septembre 2011, avec Patrick Sirdey, directeur général du groupe Weleda (laboratoire d'origine suisse produisant des médicaments et soins cosmétiques bio, 60% de parts de marché en France, CA de 308 millions d'euros) qui revient sur la philosophie sur laquelle l'entreprise a été bâtie : l'anthroposophie, un courant ésotérique de méthodologie spirituelle créé au début du XXème siècle et qui a donné des applications concrètes dans le domaine de l'éducation, en agriculture et en médecine. Une culture qui donne lieu à une expérience de gestion particulière.

Prendre, au moins temporairement, le contrôle public des banques.

Un peu plus de 2% du PIB, 400 000 emplois, un rôle clé dans la balance commerciale, une moindre dépendance au pétrole, un bilan plus avantageux que les voisins en matière d'émission de gaz à effet de serre : le gouvernement n'en finit plus de rappeler les atouts du nucléaire et l'erreur qui consisterait à infléchir la trajectoire choisie dans les années soixante-dix. Après la décision allemande de se retirer du secteur, le doute, pourtant, est permis. Il est même recommandé.

Qui pourrait se substituer aux Etats-Unis tentés par un repli ?

Le nouveau responsable des "Inrockuptibles" passe en revue les capacités transformatrices de la culture.

Placer au même niveau la possibilité de faire des profits et celle de se consacrer à d'autres priorités est moins anodin qu'il n'y paraît.

La révolution des réseaux sociaux Internet, générateurs d'empathie appliquée au défi énergétique, décryptée par un grand débusqueur de tendances.