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Art -- Commerce

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Du 26 janvier au 2 février 2020, le monde de l'art prenait la nationalité belge à la Brafa, conjuguant exigence et atmosphère bon enfant. Récit. Dans un entretien intitulé "La Brafa est un cabinet de curiosité de luxe", le directeur de la foire Harold t'Kint de Roodenbeke explique la spécificité de la Brafa.
Numéros de page :
pp.132-133

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"Le supermarché des images", au Jeu de paume, à Paris, est une exposition audacieuse : elle critique notre monde de plus en plus inondé d'images, à l'instar des 3 milliards qui s'échangent quotidiennement sur les réseaux sociaux. A travers cette surproduction, c'est la question de leur stockage, de leur fabrication, de leur flux et de leur valeur qui est ici abordée. En un mot, leur "iconomie".
Numéros de page :
pp.72-74

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On les croyait disparus à jamais des radars mais les maîtres anciens retrouvent enfin la faveur des institutions et du public après avoir été éclipsés par l'engouement pour le moderne et le contemporain. Un juste retour des choses. Sommaire. Le retour de la peinture ancienne. "L'art ancien n'est plus élitiste que l'art contemporain", Olivia Voisin. La peinture ancienne, nouvelle star du marché de l'art !
Numéros de page :
pp.34-47

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Le printemps 2020 s’annonçait riche en actualités. Expositions, ouvertures de boutiques, chantiers, beaucoup ont dû s’adapter. Le très actif galeriste parisien fourmillait de projets. En attendant la reprise, il dévoile chaque jour sur son site une oeuvre “qui n’a pas de prix”.
Numéros de page :
pp.70-71

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Alors que les galeries ouvrent de nouveau, rencontre avec Thaddaeus Ropac. Depuis Salzbourg, le galeriste majeur de l’art contemporain en Europe, se raconte. Il juge sévèrement le marché de l’art devenu, selon lui, trop hégémonique.
Numéros de page :
pp.90-95

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Galeristes, marchands d’art et maisons de ventes rivalisent de zèle pour soutenir hôpitaux, ehpad et associations d’aide à ceux que la crise sanitaire fragilise. Y compris au sein de ses propres rangs, en épaulant petites structures et artistes indépendants. Reste à savoir si cette belle générosité perdurera à la reprise des affaires...
Numéros de page :
pp.53-55

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Ce sont de véritables cavernes d’Ali Baba. Les 150 000 mètres carrés des entrepôts des ports francs de Genève stockent entre leurs murs des milliers d’antiquités et d’oeuvres d’art. Une référence mondiale qui permet aux propriétaires de conserver leurs trésors en toute sécurité et sans avoir à payer le moindre impôt. Son autre grand mérite : les achats et les ventes effectuées restent indécelables. Une opacité que la Suisse, qui a perdu son secret bancaire, compte bien protéger alors que d’autres ports francs viennent lui faire concurrence.
Numéros de page :
pp.48-50

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Depuis l’annonce, le 6 juin 2020, de l’annulation de la foire d’art contemporain Art Basel, tout un secteur broie du noir. Car c’est bien le grand rendez-vous bâlois qui donne tous les ans le "la" sur le marché. Depuis 1970, galeristes et richissimes collectionneurs y font grimper les prix, toujours plus haut. Certains estiment que ce symbole de la course à l’argent était devenu "too much". Malgré la peur d’une décélération, d’aucuns espèrent voir surgir un autre monde de l’art.
Numéros de page :
pp.40-43

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L'art contemporain est hors sol, la vraie belle peinture difficile d'accès, la tapisserie ringarde (ou trop avant-gardiste ?). Alors, quoi accrocher au-dessus du canapé ? Une photo, une vitre, un cadre. Le huitième art déploie dans les intérieurs petit-bourgeois les mythologies postmodernes les plus sottes. Inventaire.
Numéros de page :
pp.76-78

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Cet été, "M" fait le tour du monde des festivités annulées pour cause de pandémie. En juin, l’artiste Jeff Koons aurait dû être à l’honneur de la grande célébration donnée par Dakis Joannou. Chaque année, le milliardaire et collectionneur grec convie, dans la foulée de la foire d’Art Basel, le gratin de l’art contemporain sur l’île d’Hydra, dans la mer Égée. L’occasion de festoyer et de parler affaires dans une ambiance décontractée.
Numéros de page :
pp.33-37

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Il est considéré comme le Bernard Madoff du monde de l’art, passé d’une vie de jet-setteur à la case prison. La chute spectaculaire de l’Américain Inigo Philbrick, arrêté en juin 2020 par le FBI, illustre la dérive spéculative de l’art contemporain. Etabli à Londres, ce marchand de 33 ans a mis sur pied un business ultra-juteux au cours des dix dernières années. Son créneau : miser sur l’envolée de la cote d’artistes déjà confirmés et empocher les plus-values. Mais les aléas du marché ont eu raison de sa martingale.
Numéros de page :
pp.60-65
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Bibliothèque communale de Hannut Section adultes 34 PIN A Disponible