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Cinéma -- Production et réalisation

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King Vidor est l'auteur du premier film que j'ai vu, si bien que pour moi, le cinéma commence avec lui et avec "Duel au soleil" (1947). Imaginez l'effet sur un enfant de telles images, ce Technicolor fiévreux, ces gros plans, ce mouvement implacable et dynamique du début à la fin.
Numéros de page :
pp.38-40

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Le classicisme de "J'accuse", qui en fait décidément un grand film, réside en ceci que l'inquiétante étrangeté d'un lieu et de son histoire ne doit plus guère se manifester, mais s'invisibilise et distille sobrement, et d'autant plus sûrement, son venin à l'image. Le gothique est toujours là, réinventé.
Numéros de page :
pp.50-52

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Si « le cinéma de Blier a quelque chose à nous dire sur notre époque » , comme l'écrit Vincent Roussel dans son brillant essai "Bertrand Blier, cruelle beauté", c'est qu'il témoigne d'une liberté de ton et d'un plaisir corrosif qui font cruellement défaut aujourd'hui. L'occasion pour "Transfuge" de revisiter une oeuvre aussi frondeuse que ludique. Sommaire. Bertrand Blier : "Je cherchais à réveiller l'ambiance générale". Candeur de Blier. Blier de A à Z. Nathalie Baye : "Le rapport entre les hommes et les femmes est son sujet de prédilection".
Numéros de page :
pp.56-78

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Auteurs
Des Robins des Bois aux "Tuche" en passant par Bacri, Depardieu et la vie à Dunkerque, l'autre Jean-Paul, après Wojtyla et Ollivier, dit tout.
Numéros de page :
pp.46-51

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On connaît ses films les plus célèbres, de "Dead Zone" (1983) à "Cosmopolis" (2012) en passant par "Crash" (1996). On sait que chez lui le monstrueux, le violent, l'étrange sont toujours à l'oeuvre. Mais comment travaille ce réalisateur canadien ? Comment écrit-il ou adapte-t-il ces histoires où la mort et le sexe sont toujours présents ? Dans cet entretien avec Arnaud La porte, David Cronenberg, né en 1943, revient sur sa longue carrière et nous livre quelques clés.
Numéros de page :
pp.118-125

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A l'occasion du vingt-cinquième anniversaire de sa disparition, "Transfuge" a voulu rendre hommage à Louis Malle. D'autant que le cinéaste éclectique, rebelle et solitaire, n'est pas encore reconnu à sa juste valeur en France. Sommaire. Que faire de son coeur ? Malle de A à Z. "Louis Malle fait partie de mes réalisateurs préférés". "Louis n'était pas du tout à l'aise en société". "J'admirais son regard e documentariste". "Louis n'a pas eu la reconnaissance qu'il mérite". "Il est passé des poissons à Drieu la Rochelle". "Mon père était obsédé par la passion amoureuse".
Numéros de page :
pp.60-81

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A l'occasion de la Berlinale où nous avons pu voir le prochain film de Xavier Beauvois, "Albatros", (sortie prévue le 25 août 2021), "Transfuge" s'est rendu un après-midi chez le réalisateur, pour en savoir un peu plus.
Numéros de page :
pp.40-47

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"Au crépuscule" de Sharunas Bartas, né en 1964, sortira dès la réouverture des salles de cinéma. Un village lituanien y résiste contre l'occupation soviétique après la Seconde Guerre mondiale. Entre détails quotidiens, poids historique et dimension autobiographique, ce film sélectionné en 2020 au festival de Cannes confirme une évolution déjà sensible dans les réalisations précédentes du Lituanien. Persistent la violence et la poésie des paysages enneigés.
Numéros de page :
pp.67-70

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Le coffret "Les années Kanoon" permet de découvrir les tout premiers films d'Abbas Kiarostami. On y découvre comment l'immense iranien y élabora son éthique du regard si juste et poétique.
Numéros de page :
pp.54-55

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Du 17 mai au 26 juillet 2021, à Paris, le Centre Pompidou rend hommage à Abbas Kiarostami avec une grande exposition et, en parallèle, une rétrospective complète de ses films. L'occasion de revenir sur les créations protéiformes (cinéma, photographie, poésie) de cet artiste iranien et les liens qu'elles entretiennent entre elles, aussi joueuses que contemplatives.
Numéros de page :
pp.18-20

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Bulletin : Transfuge 149
Inspiré par Bresson et la Nouvelle Vague tchèque, le Slovaque Ivan Ostrochovsky présente "Les Séminaristes" hymne à la liberté d'une austère beauté.
Numéros de page :
pp.58-60

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Auteurs
Le prolifique réalisateur est de retour en compétition à Cannes avec « Tout s’est bien passé ». S’il aime s’essayer à tous les genres, le cinéaste s’entoure à chaque projet d’un savant mélange de fidèles et de nouveaux venus.
Numéros de page :
pp.52-63