L'amour transforme les êtres, l'amour fou les transforme follement : il les pousse aux extrêmes de l'incandescence, du sacrifice, de la jalousie, de la souffrance, de l'exil, à leur point de rupture avec la fadeur de la vie ordinaire. Thème littéraire inépuisable, l'amour fou suffirait à justifier, en plus, l'existence du cinéma. Seule la voyeuse et songeuse caméra pouvait montrer avec autant d'évidence les mille et une métamorphoses des corps et des comportements qu il provoque, montrer aussi l ébahissement et souvent la cruauté de la société envers ceux qui aiment trop. Parce qu'il réveille en chacun un désir d'absolu, le cinéma n'est donc pas étranger à votre envie de déclarer aujourd hui à qui vous devriez ou ne devriez pas : je t'aime à la folie !

Cette nouvelle collection propose un itinéraire pédagogique et poétique à travers un texte et un choix d'images cinématographiques. Cet album montre comment le cinéma sait réveiller les peurs anciennes du spectateur, peurs voisines de celles suscitées par les contes de l'enfance, en analysant des films tels que La nuit du chasseur ou Les oiseaux.

Une réflexion sur la fascination qu'exercent les personnages de pervers au cinéma. Avec une galerie des grandes figures de la perversité au cinéma : sadiques et masochistes, fétichistes et érotomanes, tueurs en série, femmes perverses et pervers narcissiques...

L'analyse des formes prises par la relation du cinéma à la philosophie et de l'appropriation du cinéma par les philosophes montre que ces deux disciplines ont des notions communes : le temps et l'espace, l'imaginaire et la réalité, le corps et l'esprit, l'être et l'apparence, la vérité et la manipulation.

De l'Equipée sauvage à Easy Rider, des bikers movies aux cool riders, cet ouvrage retrace les liens entre le cinéma, américain essentiellement, et les deux-roues, à travers des anecdotes et des images de films.

A l'occasion du 600e anniversaire de sa naissance, ce livre présente les différents regards que le cinéma et la télévision ont portés sur la sainte. La pucelle a toujours fasciné les réalisateurs d'Otto Preminger qui faillit faire brûler son actrice Jean Seberg à Luc Besson qui a fait de son film une superproduction. Jeanne d'Arc a été interprétée 92 fois sur le grand et petit écran.