Plus collective, plus centrale et plus punk que d'autres villes, Bruxelles a pris place parmi les capitales internationales du cool et de la culture. Depuis quelques années maintenant, les artistes et entrepreneurs culturels ont inventé une nouvelle réalité dans un espace où tout semblait possible.

Afin d'attirer de nouveaux touristes et créer des sources de revenus, les musées lorgnent le marché chinois, où plusieurs générations se passionnent pour les merveilles de l'Hexagone.

Alors qu'elle représente 2,3 % de l'économie française, avec une valeur estimée à 49,3 milliards d'euros, la culture a été l'un des secteurs à le plus souffrir de la crise de Covid-19 en 2020. Cinémas fermés, spectacle vivant à l'arrêt, musées clos, de nombreux segments ont subi une chute brutale de leur activité. Seuls quelques produits culturels apparaissent gagnants après cette période, comme le jeu vidéo.

La crise sanitaire a montré à quel point la culture était essentielle, et le soutien des mécènes fondamental.

Ce mode de consommation se diffuse partout grâce à Amazon, Netflix ou Tencent et bouleverse l'industrie du divertissement. Décryptage d'une guerre sans merci, avec les analyses du magazine britannique "The Economist" et du site chinois "Qianzhan Wang". Sommaire. La poursuite infernale. Le mercato des talents. Apple n'a pas dit son dernier mot. L'album est mort, vive la musique ! Tencent met la Chine au diapason.

L'espace public est la galerie d'oeuvres reflétant l'académisme de notre politique artistique. Entre gag, dérision et incrédulité. L'art, dans tout ça...

En matière de subvention culturelle, l'Etat privilégie fortement... ceux qui en ont le moins besoin. Curieuse politique, qui accentue les inégalités géographiques. Sommaire. L'autre fracture française. Un scandale français. "La disproportion reste énorme".