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Daoud, Kamel (1970-....)

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Bulletin : Marianne 1306
A Paris, l'Institut du monde arabe accueille l'exposition "Son oeil dans ma main. Algérie 1961-2019" : des photos de Raymond Depardon présentées en regard de textes de l'écrivain algérien Kamel Daoud, né en 1970, soit après l'indépendance de son pays. Un dialogue entre deux artistes, deux pays, et deux générations.
Numéros de page :
pp.72-73

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Lu et apprécie sur les deux rives de la Méditerranée, le lauréat du prix Goncourt 2015 revient sur son dialogue avec Emmanuel Macron et porte un regard aiguisé sur la relation entre Paris et Alger, mais aussi sur la situation dans son pays.
Numéros de page :
pp.60-65

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À l'occasion de la publication de « Laïcité, j'écris ton nom » (Éditions de l'Observatoire), Abnousse Shalmani dialogue avec Kamel Daoud. Les deux écrivains - deux exilés, deux Français - évoquent leur attachement au pays des Lumières, celui de la liberté et de la démocratie.
Numéros de page :
pp.124-127

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Kamel Daoud signe un très grand roman."Zabor ou les psaumes" relate la vie d'un homme pourvu d'un don exceptionnel : il peut, par l'écriture, sauver la vie des gens. De Quoi rendre fous les religieux de son village...
Numéros de page :
p.58

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Son nouveau roman, le rôle de la lecture et de l'écriture, la sexualité, la mémoire, ses rêves pour son pays qu'il refuse de quitter... Entretien avec un écrivain qui déchaîne les passions chaque fois qu'il prend la plume.
Numéros de page :
pp.36-41

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Il y a trois ans, son livre "Meursault, contre-enquête" connaissait un succès planétaire. Kamel Daoud publie aujourd'hui son deuxième roman, "Zabor ou les psaumes". Finies, les chroniques de presse acérées sur les dérives du monde arabe. L'écrivain a préféré la magie à l'actualité, la fiction aux polémiques. Rencontre.
Numéros de page :
pp.66-67

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Quand Dieu ordonna à Jonas d’aller convertir les habitants de Ninive, hostiles à sa tribu, il refusa et partit dans la direction opposée. Ecrire, c’est s’obliger à voyager dans le sens opposé à son monde et risquer la tempête et le hasard.
Numéros de page :
pp.60-63

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Avant Defoe, c'est à un penseur andalou du XIIe siècle qu'on doit le mythe de l'homme seul sur une île. Avec son "Robinson de Guadix", le philosophe Jean-Baptiste Brenet propose une magnifique adaptation du conte arabe originel. En exclusivité, il dialogue avec l'écrivain Kamel Daoud, qui en signe la préface.
Numéros de page :
pp.77-82

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Bulletin : Le Point 2404
L'écrivain a passé une nuit enfermé au musée Picasso. De ce face-à-face avec le Minotaure de l'art, il tire une rêverie coupante et scintillante sur la femme et le désir : "Le peintre dévorant la femme".
Numéros de page :
pp.86-89

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Bulletin : Le Point 2326
Dans les journaux arabophones, "lslamophobie" se traduit couramment par "détestation de l'islam" ; en français, il signifie le plus souvent ""peur de l'islam". D'où, pour l'écrivain bilingue, la nécessité d'une "éthique de la traduction" : traduire, c'est écouter l'Autre et restituer au monde la vertu des rencontres.
Numéros de page :
p.126

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Bulletin : Le Point 2432
Témoin et analyste des semaines de manifestations pacifiques qui ont abouti à la démission de Bouteflika, l'écrivain algérien livre ici le journal d'une révolution, sans préjuger de l'avenir.
Numéros de page :
pp.138-142

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La Grande Mosquée de Paris poursuit l'auteur pour incitation à la haine. Pourquoi cette nouvelle provocation embarrasse politiques et intellectuels. Sommaire. L'affaire Houellebecq. "Il est pénible de se livrer à des commentaires de texte au sujet d'évidences", tribune de Michel Houellebecq. Chems-Eddine Hafiz : "Je combats Houellebecq et tous ceux qui s'en prennent aux musulmans de France". Lettre ouverte au recteur de la Grande Mosquée de Paris par Michel Onfray. "Sa défense ne sera pas simple". La mosquée contre l'écrivain, le plus mauvais des castings, tribune de Kamel Daoud.
Numéros de page :
pp.26-39