Nécessité, pour l'entreprise, de maîtriser la multitude de risques pouvant remettre en cause sa pérennité, qu'ils soient géopolitiques, stratégiques, financiers, opérationnels, informatiques, d'intégrité ou de connaissance. Une maîtrise qui contribue à la sécurité de l'entreprise, notamment à l'appui des démarches proposées par le risk management à la gestion des connaissances. Des détails sur les apports de la maîtrise de ce type de risques associés aux informations et aux savoirs : un enjeu permanent, protéiforme et contraignant ; définition et méthodologies ; l'enjeu de la connaissance.

Décryptage des enjeux et de l'évolution de la gestion de la relation client ou CRM (customer relationship management) dans les entreprises françaises. Né dans les années 1990, le CRM consiste à placer le client au coeur des préoccupations de l'entreprise. Un objectif auquel les logiciels permettent de répondre en conservant les données et en automatisant les différentes composantes de la relation client. Toutefois, s'il est important de collecter le plus d'information possible, il convient de ne pas alourdir le système d'information de l'entreprise.

Dossier consacré, en 2013, aux différents niveaux de l'urbanisation du système d'information (SI), alors qu'avoir une vision purement informatique est depuis longtemps dépassé. Dans ce type de projet, le directeur du système d'information (DSI) est identifié comme incontournable, mais d'autres professionnels sont également en lien : chefs de projets documentaires et web, de Ged, de gestion de contenu, etc.

Nécessité pour les responsables des systèmes d'information (SI) des entreprises françaises, de s'adapter à la tendance du big data, c'est-à-dire au traitement et à l'analyse du flux de données volumineux issu d'Internet. Collecte, validation, enrichissement, structuration, analyse sémantique, conformité au droit de l'information : les compétences des professionnels de l'information sont de véritables atouts dans les projets de big data.

Dans de nombreuses entreprises, les applicatifs se sont multipliés durant ces dernières années, entraînant des incompatibilités ou une forte hausse des coûts de maintenance. Il est pourtant possible d'y voir plus clair dans le patrimoine applicatif et de le rationnaliser, souvent en s'appuyant sur une Ged transversale ou une solution de gouvernance.

Présentation des résultats de l'enquête 2016 Serda-Archimag sur la gouvernance de l'information en France dans les entreprises. Ce 5ème baromètre indique que la problématique est enfin prise en considération : en 2015, 66% des entreprises du panel sont engagées dans un projet de gouvernance qui a pour principaux objectifs d'organiser l'accès et le partage de l'information et des connaissances, de définir des règles et des process et de maîtriser les risques.

Synchroniser ses fichiers c'est avoir la possibilité de les retrouver à l'identique sur un autre terminal que celui où ils ont été créés ou retravaillés. Avec la prolifération des terminaux mobiles, l'opération est devenue transparente, presque évidente. Et pourtant, afin de disposer de données constamment à jour, mieux vaut prendre quelques précautions.

Essor du "shadow IT", ou "informatique fantôme", qui fait référence aux applications déployées au sein de l'infrastructure informatique, sans avoir suivi le circuit élaboré pour vérifier qu'elles sont fonctionnelles et sécurisées. Aujourd'hui, dans les organisations, il y a donc, d'un côté, le système d'information "officiel", avec ses logiciels généralistes et métier, et, de l'autre, une quantité d'applications que les employés installent et utilisent de leur propre chef, sans en référer à la direction informatique.

Essor, en France, des solutions dédiées à la Gestion électronique du courrier (Gec) alors que les organisations, privées comme publiques, sont aujourd'hui nombreuses à dématérialiser leur fonction courrier, particulièrement importante pour leur fonctionnement. Le marché du logiciel dédié à la Gec a généré en 2014 un CA de 636,91 millions d'euros, soit une hausse de 4,4 % par rapport à l'année précédente. Revue de détails des critères à prendre en compte pour bien choisir son Gec avec un panorama, sous forme d'un tableau, des solutions disponibles en France (mention du nom des éditeurs).

Décryptage, à l'occasion de l'édition 2016 des Salons Solutions, de la place de la dématérialisation documentaire dans la transition digitale des entreprises qui se traduit par le déploiement du cloud computing, l'usage des réseaux sociaux, des technologies mobiles, des objets connectés, ou encore la montée en puissance du big data. Le digital est porté par une foule d'outils qu'il s'agit désormais de rendre efficaces. Un enjeu pour les éditeurs de logiciels bien décidés à prendre place dans un mouvement qui touche bien souvent le point sensible de la relation client.

Si dans l'administration comme dans les entreprises françaises le mouvement de dématérialisation s'intensifie, la disparition du papier, ou paperless, n'est pas encore d'actualité. En revanche, un deuxième mouvement pourrait bien contribuer au déclin progressif du papier : le bouleversement des pratiques professionnelles avec la multiplication des espaces de travail partagés où le document papier laisse la place au document numérique accessible à tout moment et sur tout support. Sa mise en oeuvre passe par une amélioration de la gestion de l'information et de l'archivage.

Les mécanismes cryptographiques, qui recouvrent les fonctions de hachage, contremarques de temps, signatures ou cachets électroniques, sont au coeur de toutes les solutions d'archivage électronique. Ils concourent à l'intégrité des contenus numériques et sécurisent les outils destinés aux entreprises, mais aussi aux particuliers. A l'origine utilisée dans les domaines diplomatique et militaire, la cryptographie s'est largement répandue dans les applications dédiées à la confiance numérique. Détails. Pas de chiffres.