Point sur la place centrale des systèmes d'information (SI) dans le fonctionnement de l'entreprise, et surtout dans la réalisation et le succès des synergies recherchées. Le poids de ces SI est aujourd'hui croissant dans les opérations de fusion-acquisition des sociétés françaises. Les harmoniser rapidement et impliquer les directions des services informatiques au plus tôt dans le processus d'intégration est dès lors vivement conseillé par des spécialistes.

Les entreprises françaises, y compris les TPE et les PME, ont tout intérêt à mettre en place un dispositif de veille concurrentielle pour surveiller les innovations de leurs concurrents mais également l'évolution du marché. Un processus de longue haleine qui nécessite de collecter et d'analyser de l'information émanant de sources inépuisables, et qui soit s'accompagner obligatoire d'une stratégie bien rodée. A la clé ? Un accroissement de la compétitivité de l'entreprise.

Alors que la donnée numérique occupe une place de plus en plus importante au sein de l'entreprise, l'audit des systèmes d'information se développe au sein des grands groupes et ETI (entreprises de taille intermédiaire), en France. Menée par des auditeurs spécialisés, cette procédure a pour objectif d'améliorer les SI qui permettent de vrais gains de productivité. L'audit permet également d'analyser les risques informatiques qui peuvent peser sur l'entreprise.

Les progiciels de gestion intégrée (ERP) de l'entreprise allemande SAP, offrent aux sociétés françaises une technologie dans laquelle les diverses fonctions essentielles comme la comptabilité, la gestion de la production, de l'approvisionnement, le marketing, les ressources humaines, la maintenance et autres, déclinés en modules, peuvent être reliées entre elles. A la clé ? Une meilleure utilisation du système d'information de l'entreprise, permettant de répondre de manière précise en temps réel et d'agir. Le choix des modules doit avant tout s'appuyer sur un projet d'entreprise.

L'intranet est un outil fait pour les documentalistes, que le service infodoc dispose de son propre site ou simplement d'un espace sur le portail de l'entreprise. Bien intégré dans leur pratique quotidienne, il leur permet de développer toute leur valeur ajoutée au bénéfice des utilisateurs.

Dossier consacré, fin 2010, à l'utilisation du knowledge management (KM) dans les entreprises françaises. Point sur les fondements, principes, atouts et limites d'un concept qui se situe entre gestion de l'information et management, entreprise 2.0, rigueur procédurale, outils perfectionnés et bon sens. Sommaire. L'outil universel de KM n'existe pas, mais des solutions si. La sémantique au service du savoir. Humain, transverse et multitâche, le parfait knowledge manager. Des détails. Encadré : KM ou gestion de connaissances ?

Présentation, fin 2010, des résultats d'une étude menée par le cabinet Histen Riller, sur la place de la documentation et de la veille au sein des grandes entreprises françaises. Principaux enseignements : les entreprises accordent une place majeur à la veille, à l'intelligence économique et au déploiement des technologies de l'information et la communication (Tic) ; plus de la moitié des centres d'information et de documentation (CID) interrogés jouent un rôle dans le dispositif de veille de l'entreprise, mais encore plus d'un tiers d'entre eux n'intervient pas dans ce dispositif.

Lumière, en 2011, sur le rapprochement entre les systèmes d'archivage électronique (SAE) et les progiciels métiers, afin de permettre d'archiver de manière naturelle, sans intervention, tout document couvert par la politique d'archivage d'une organisation. La gestion de la collecte des flux de données reste complexe à mettre en place. L'embarquement d'un socle d'archivage sur les progiciels de gestion apparaît à terme inéluctable, selon les spécialistes.

Retour d'expérience du groupe chimique français Rhodia (CA de 5,23 milliards d'euros), qui a entrepris dès 2007 de dématérialiser ses factures, dans un souci d'optimisation et de rationalisation. Initié par les sites américains de Rhodia, le processus a franchi le pas de l'OCR et a formalisé ses processus comptables. La numérisation permet d'améliorer la traçabilité des factures et de renforcer les relations avec les fournisseurs ; elle concerne pour l'instant trois des quatre continents où est implanté Rhodia. Précisions sur la dématérialisation au quotidien.

La spécialisation des outils d'ECM selon un périmètre fonctionnel précis est de moins en moins avérée. Les solutions ne s'en différencient pas moins par les technologies employées, les modalités d'intégration et d'implémentation, ainsi que par des spécificités fonctionnelles persistantes ou au contraire récemment implémentées.