Intégration, par les éditeurs de solutions de Ged (gestion électronique des documents), de fonctionnalités de partage et de travail collaboratif alors que se multiplient en France les services web de communication et de partage de contenus. Confrontés à des utilisateurs ultra-mobiles et connectés, ils multiplient les signes d'ouverture en ayant recours à des systèmes extérieurs, notamment les réseaux sociaux et les services cloud de bureautique.

Panorama, sous forme de comparatif, des solutions de records management (RM) à destination des entreprises françaises début 2016. Le RM permet l'organisation et la gestion de l'ensemble des documents essentiels à la conduite de l'activité d'une organisation, ces solutions s'adaptent de plus en plus aux évolutions technologiques en vigueur (dématérialisation, usage généralisé d'Internet, cloud notamment) garantis par la standardisation des solutions.

Présentation des résultats de l'enquête 2016 Serda-Archimag sur la gouvernance de l'information en France dans les entreprises. Ce 5ème baromètre indique que la problématique est enfin prise en considération : en 2015, 66% des entreprises du panel sont engagées dans un projet de gouvernance qui a pour principaux objectifs d'organiser l'accès et le partage de l'information et des connaissances, de définir des règles et des process et de maîtriser les risques.

Les documents sont le sang d'une entreprise. Porteurs d'informations, ils circulent de cellule en cellule, c'est pourquoi conserver leur intégrité tout au long de leur cycle de vie est un véritable défi. "Archimag" a choisi de comparer quatre solutions dont c'est la raison d'être. Open source ou propriétaire, elles sont dédiées à la gestion documentaire et destinées à des projets précis : Alfresco, Maarch, Nuxeo et Sharepoint.

Les solutions de gestion électronique de documents (Ged) ont pour objectif premier de permettre la gestion des documents au travers d'un plan de classification et d'un calendrier de conservation. Conçues à l'origine pour répondre à de gros volumes elles donnent souvent lieu à des projets sans fin, aux coûts hors de proportions par rapport aux attentes de la clientèle. Les éditeurs vont devoir évoluer, proposer des offres complémentaires dans les années à venir s'ils veulent survivre. Car la Ged traditionnelle c'est désormais fini. Explications. Pas de chiffres.

Si dans l'administration comme dans les entreprises françaises le mouvement de dématérialisation s'intensifie, la disparition du papier, ou paperless, n'est pas encore d'actualité. En revanche, un deuxième mouvement pourrait bien contribuer au déclin progressif du papier : le bouleversement des pratiques professionnelles avec la multiplication des espaces de travail partagés où le document papier laisse la place au document numérique accessible à tout moment et sur tout support. Sa mise en oeuvre passe par une amélioration de la gestion de l'information et de l'archivage.

La norme Iso 15489-1:2016 sur le records management a été révisée en 2016 et intègre désormais la data. Une petite révolution conceptuelle et pour le métier de records manager. Une petite révolution ! Considérer les métadonnées, qui viennent "étayer" les documents d'activité, et autres data, va devoir entrer dans l'entreprise, si cela n'est pas déjà le cas. Pour le records manager, il faut élargir son champ d'investigation et c'est alors un nouveau chantier qui s'ouvre.

La réversibilité des données des systèmes d'information sécurise la fonction de conservation des documents. La non réversibilité étant un risque, l'article donne des conseils méthodologiques pour s'en prémunir et souligne l'apport des professionnels de la gestion des documents dans la maîtrise de ce risque.

Au Maroc, les projets d'informatisation des fonds documentaires se voient de plus en plus répandus dans les bibliothèques avec la mise enplace de SIGB visant à automatiser le travail des bibliothécaires. Néanmoins, l'utilisation de ces système dépend de nombreux facteurs de perception individuelle. Cet article en présente une étude exploratoire descriptive.

Au Maroc, les projets d'informatisation des fonds documentaires se voient de plus en plus répandus dans les bibliothèques avec la mise enplace de SIGB visant à automatiser le travail des bibliothécaires. Néanmoins, l'utilisation de ces système dépend de nombreux facteurs de perception individuelle. Cet article en présente une étude exploratoire descriptive.