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Musique -- Interprétation

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Auteurs
Les impromptus posthumes font partie de l'ultime legs du compositeur autrichien. Quel pianiste saura en révéler les clairs-obscurs et faire chanter le romantisme ailé ?
Numéros de page :
pp.76-79

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Bulletin : Classica 240
Ainsi le compositeur ariégeois fit-il son entrée dans le répertoire chambriste. Et quelle entrée, puisque ce quatuor avec piano est devenu un emblème du genre ! Un monument aussi débordant de vie que redoutable à interpréter.
Numéros de page :
pp.70-73

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Auteurs
Bulletin : Classica 242
Ce dernier quatuor se distingue par sa force d'expression et son instabilité émotionnelle, plongeant les interprètes dans la tourmente. Au bord de l'abîme, qui saura apprivoiser les profondeurs du désespoir, en bon danseur de corde ?
Numéros de page :
pp.72-75

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Bulletin : Classica 243
Son compositeur la qualifiait de "musique pure". Pourtant, derrière ce formalisme annoncé, un trouble menace la symphonie. Quel chef saura résoudre le conflit entre rage et humour ?
Numéros de page :
pp.74-77

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Bulletin : Diapason 711
Ténèbres. Prononcer ce mot en présence de l'amateur de musique baroque fera, dans l'instant, se lever images et sensations. Des cierges éteints l'un après l'autre ; les flammèches des flambeaux peints par Georges de La Tour ; une scène de "Tous les matins du monde" où la solitude d'un maître de la viole voué aux regrets accueille les mélismes de la "Troisième des Leçons" de François Couperin. Elles sont aujourd'hui les plus jouées, les plus enregistrées du vaste corpus légué par les XVIIe et XVIIIe siècles français.
Numéros de page :
pp.40-43

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Bulletin : Diapason 711
Aimé du public et des musiciens comme nul autre chef de sa génération, Carlo Maria Giulini était l'humilité, l'intégrité incarnées. Un esthète éperdu également, pour qui la musique reposait d'abord sur le chant.
Numéros de page :
pp.46-47

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Epris d'absolu, César Franck nourrit sa musique d'un fort sentiment religieux et la soumet à sa volonté de grandeur. Mais il sait aussi inventer des formes originales et céder aux élans romantiques.
Numéros de page :
pp.54-61

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En quarante ans d'une carrière exemplaire, loin de tout tapage médiatique, Frank Peter Zimmermann continue d'arpenter un vaste territoire allant de la musique baroque jusqu'aux compositeurs d'aujourd'hui. Sa maturité artistique et la perfection de son jeu d'une absolue pureté stylistique le placent au sommet de l'art violonistique. Un entretien en toute simplicité avec un interprète majeur de notre époque.
Numéros de page :
pp.66-69

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Des raisons esthétiques ou idéologiques ont longtemps laissé ce concerto en marge. Désormais reconsidéré, il aligne les plus grands noms. Qui saura associer virtuosité, panache et rêverie dans un même élan ?
Numéros de page :
pp.76-79

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Bulletin : Diapason 712
"Expansive, pessimiste 'et indubitablement extatique" : ainsi Glenn Gould décrit-il la "Sonate pour piano" d'Alban Berg, en laquelle il disait voir le meilleur Opus 1 de l'histoire de la musique. Le choix d'adjectifs aussi affectifs peut surprendre pour caractériser l'une des pièces les plus abstraites du répertoire de la sonate et qui se veut avant tout "chef-d'oeuvre" au sens artisanal : un exercice de fin d'études, composé vers 1909 sous l'égide du maître Arnold Schonberg, au moment de quitter son enseignement.
Numéros de page :
pp.38-41

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Bulletin : Diapason 713
Deuxième des trois quatuors à cordes dédiés au comte Andreï Kirillovitch Razoumovsky, ambassadeur de Russie à Vienne et protecteur de Beethoven, l'"Opus 59 n° 2 en mi mineur" est esquissé dès 1804, composé pour l'essentiel durant l'été 1806 et créé à Vienne en janvier 1809 par le Quatuor Schuppanzigh.
Numéros de page :
pp.40-43

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Esquissé en 1808 alors que l'Autriche se prépare à la guerre contre Napoléon, interrompu par le fracas des canons et l'occupation de Vienne, achevé une fois la paix signée, le "Concerto en mi bémol majeur op. 73" est d'abord publié à Londres en novembre 1810, mais sans les cadences. Ces dernières apparaissent l'année suivante dans l'édition Breitkopf & Hartel : contrairement à l'usage, Beethoven les a toutes écrites, laissant ainsi une trace de ce talent d'improvisateur qui fascinait ses contemporains.
Numéros de page :
pp.44-47