Le 19 mars 2018, l'armée turque a pris la ville syrienne d'Afrin, tenue depuis 2012 par les troupes arabo-kurdes des Unités de protection du peuple (YPG). Cette victoire galvanise la propagande guerrière d'Ankara, qui menace d'étendre ses opérations à l'est de l'Euphrate. Allié à l'extrême droite, M. Recep Tayyip Erdogan, qui prépare sa réelection en 2019 s'en prend à ses partenaires occidentaux. Présence également d'un article intitulé "Dès qu'on frappe à la porte...".

Dans son dernier ouvrage, "Sur la religion", un texte aussi admirable par son érudition que par sa clarté et sa modération, Rémi Brague propose une analyse rigoureuse et prudente, fondée sur un accès direct aux sources en langue originale, hébreux, grec, arabe et latin, de la spécificité des trois grandes religions monothéistes, le judaïsme, le christianisme et l'islam.

Qu’elles semblent loin, les couvertures de magazines qui promettaient au Brésil un avenir radieux. Secoué par une vague de violences, tel l’assassinat de la conseillère municipale de gauche Marielle Franco, le plus grand pays d’Amérique du Sud multiplie les ruptures avec l’ordre constitutionnel. Au point que certains droits acquis après la fin de la dictature, en 1985, semblent désormais menacés. À commencer par la liberté d’expression et celle de choisir ses dirigeants. Présence d'un article intitulé "Les patrons latino-américains prennent le pouvoir".

Menaces de mort, permanences vandalisées, intimidations devant leur domicile... Depuis le début du mouvement des "Gillets jaunes" les députés du président sont devenus des cibles. Une dérive inédite.

Défense de la ZAD, blocage des universités, violences des Black Blocs, expédition antimigrants... Une génération radicale rêve de détruire le "système". Une vraie menace pour l'Elysée. Sommaire. Ces ultras qui défient Macron. "On assiste à un retour de flamme de la radicalité", l'analyse du politologue Jean-Yves Camus. En marche contre "la domination blanche". "Lundimatin", matrice de la gauche radicale.

Entre 1980 et 2000, le violent conflit entre le Sentier lumineux et l'État péruvien s'est soldé par quelque 70 000 morts. En cause, les exactions du groupe maoïste mais aussi celle de l'armée, autorisée à agir en toute impunité. La caserne militaire de Los Cabitos, près d'Ayacucho, dans les Andes, est ainsi devenue un lieu de détention, de torture et d'exécution de présumés "terroristes": au moins 500 personnes y auraient disparu. Depuis, les familles cherchent désespérément les corps de leurs proches.

Sous le régime de Yoweri Museveni, les disparitions forcées, les centres de détention clandestins et la torture sont devenus un moyen comme un autre de museler l'opposition et de mettre au pas tout un pays.

Au lendemain des émeutes qui ont eu lieu à Brasilia, ce quotidien conservateur dénonce le rôle joué par l'ancien président Jair Bolsonaro et le silence complice des forces armées. Sommaire. Une intolérable attaque contre la démocratie. Une mobilisation sur les réseaux sociaux. Ce que risquent les émeutiers et Jair Bolsonaro.

Les manifestations incessantes et la répression policière pourraient ouvrir la voie à un régime autoritaire, redoute ce chroniqueur péruvien.

L'Hexagone a toujours cultivé une certaine tolérance vis-à-vis de la violence. Mais selon ce journaliste britannique du "Local", choqué par les scènes de manifestations "apocalyptiques" auxquelles il a assisté, les règles du jeu ont peut-être changé, voire disparu. L'article se poursuit par l'analyse dressée par le quotidien suisse, "Le Temps", intitulée "Le discrédit de la République".

Ce bourg de l’Indre devrait installer un centre d’accueil pour demandeurs d’asile. Mais comme à Callac ou Saint-Brevin, des militants d’extrême droite tentent de faire échouer le projet. L'article se poursuit par un focus intitulé "La loi sur l'immigration, ce "boulet" du gouvernement".

Le fondateur du groupe de mercenaires Wagner n’est pas la première figure publique à mourir dans de curieuses circonstances. Mais avec le crash de son jet privé, le 23 août, la violence a franchi un nouveau palier, analyse la journaliste américaine Anne Applebaum. Sommaire. La mort de Prigojine annonce une ère de violence. Pour les Russes, l'ambivalent parcours d'un héros. En Afrique, Moscou n'a plus de paravent.