Aller au contenu principal

Cinéma -- Histoire et critique

Article

Auteurs
"Exposer Sergio Leone, sa vie et ses films inextricablement liés, c'est éprouver la formidable puissance d'un imaginaire cinématographique et suivre le destin d'un petit Romain du Trastevere qui aura beaucoup joué aux cowboys et aux Indiens avant de transformer les règles et les codes du western pour conquérir le vaste monde". Par ces mots, la cinémathèque française introduit son exposition et sa rétrospective consacrées au réalisateur Sergio Leone, dont l'oeuvre est magnifiquement sublimée par les accords d'Ennio Morricone. Mais pour Christian Viviani, il s'agit de plus que cela.
Numéros de page :
pp.72-74

Article

Auteurs
La Cinémathèque de Toulouse consacre une rétrospective à l'auteur de "Quadrille".
Numéros de page :
pp.90-95

Article

Comment faire vivre une oeuvre après la mort du cinéaste ? Témoins de la création, restaurateurs, institutions, distributeurs, exploitants, critiques et historiens du cinéma, tous ont leur rôle à jouer, et, dans le cas de Raoul Ruiz, une initiative particulière est la formation de l'association Les Amis de Raoul Ruiz, destinée à encourager et fédérer les actions. Nous avons rencontré François Ede, le trésorier de l'association, collaborateur de Ruiz pendant une quinzaine d'années avant de tenir un rôle majeur dans les tentatives de redonner une visibilité publique à ses films.
Numéros de page :
pp.90-111

Article

Auteurs
La Berlinale doit faire face à une contradiction quasi insoluble. D'une part, à la différence des festivals de Cannes et de Venise, situés dans des villes à la population modeste, elle doit pendant dix jours satisfaire la soif de spectacles de plusieurs millions d'habitants friands des films lettons, chiliens, libanais ou chinois qu'ils ne peuvent voir le reste de l'année, leurs menus cinématographiques étant réduits pour l'essentiel aux cinémas allemand et hollywoodien, soit quatre cents films programmés pendant une décade.
Numéros de page :
pp.33-38

Article

De ces milliers de pages, de ces 2 700 articles réunis ici sur papier bible, il faut d'abord louer l'entreprise éditoriale, à tous les niveaux : les recherches documentaires de Joubert-Laurencin depuis tant d'années, l'opiniâtreté de celui-ci dans le projet, porté souvent seul et contre beaucoup, et le pari des éditions Macula, acceptant la radicalité de l'édition exhaustive, et allant même à intégrer à l'ensemble différentes versions d'un même texte, ou à republier les textes parus en volumes depuis la mort de Bazin, (à l'initiative souvent de François Truffaut), sur Renoir, sur le cinéma de
Numéros de page :
pp.97-99

Article

En 2012, Les "Cahiers du cinéma" s'interrogaient en couverture « Où sont les femmes ?» (no 681), devant le manque éclatant de réalisatrices. Cette question, devenue de plus en plus pressante, ne peut avoir de sens que si elle est accompagnée d’une autre : quelle place pour les réalisatrices dans l’histoire du cinéma ? On entend dire ici et là qu’il y a peu de femmes cinéastes, et toujours les mêmes noms reviennent.
Numéros de page :
pp.6-14, 16-20, 22-62, 64-74

Article

Auteurs
Disparu le 8 août 2019 à 90 ans, Jean-Pierre Mocky a tenté en une soixantaine de films de réveiller une France endormie.
Numéros de page :
pp.65-69

Article

Auteurs
Le cinéaste allemand était présent à Paris pour une nouvelle exposition.
Numéros de page :
pp.78-79

Article

Auteurs
Avec "L'Amérique fantôme" (Flammarion, 2019), Gilles Havard, historien et chercheur au CNRS, poursuit son travail sur l'Amérique francophone. Ce livre passionnant suit le trajet de dix aventuriers, connus ou méconnus, qui arpentent l'Amérique entre le 17e et le 19e siècles. L'esprit du livre est romanesque (leur vie l'est), mais tous les faits sont véridiques.
Numéros de page :
pp.78-83

Article

Auteurs
Figure de l'histoire des "Cahiers", passeur infatigable, Jean Douchet s'est éteint le 22 novembre 2019, à 90 ans. Hommage rendu par Jean-Philippe Tessé et Luc Moullet.
Numéros de page :
pp.6-9

Article

De 1954 à 1977, la rubrique de Positif "Les infortunes de la liberté" relata les interdictions et coupes exercées par le pouvoir à l'encontre du cinéma. Nous n'aurions jamais imaginé devoir la rouvrir en 2020. Pourtant, à l'occasion de la sortie de "J'accuse" de Roman Polanski, la censure politique a de nouveau frappé çà et là, fière d'elle et ravie d'interdire, car se parant de vertu féministe.
Numéros de page :
pp.50-56

Article

Grand amoureux des films criminels d'antan, dans lesquels les gangsters agissaient selon un code d'honneur auxquels ils sacrifiaient parfois leurs intérêts, Alain Corneau acheva sa carrière en 2007 par une flamboyante adaptation du "Deuxième Souffle" de José Giovanni, qui succédait à celle de Jean-Pierre Melville. Lors de la sortie du film, le cinéaste déclarait à Positif :" Il fallait prendre le risque d'un regard neuf sur des mythologies anciennes".
Numéros de page :
pp.106-111