L'échec de l'union Renault-Fiat Chrysler révèle à 50 milliards d'euros. la complexité de ces opérations.

Il vient de prendre la direction de la branche française de CMI, le groupe de presse du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, dernier poste en date d'une carrière de touche-à-tout. Itinéraire d'un énarque controversé.

Longtemps réputés comme créateurs de l'innovation, les grands groupes ont perdu ce statut en 2019 au profit des start-up. Ces dernières ont pris le relais et s'octroient les bouleversements, majoritairement digitaux, des différents secteurs d'activité, technologiques ou non. Les talents se tournent désormais vers ces jeunes sociétés au management moderne et délaissent les entreprises massives, symboles d'un autre temps. Ces dernières ont la nécessité de s'adapter et de changer leur mode de fonctionnement.

Les retailtech, start-up spécialisées dans les technologies appliquées au commerce, impactent la distribution en 2019. Leurs innovations intéressent les grands groupes, prêts à travailler avec elles pour offrir de nouvelles expériences à leurs clients et se doter d'une image moderne. De leur côté, les jeunes pousses sont à la recherche de partenariats avec de grands distributeurs afin d'augmenter leur CA et leur visibilité, et de gagner en légitimité pour la suite de leur évolution.

Apanage historique des spécialistes et des marques de niche, le bio a franchi un cap en 2019 en France. Il est en effet devenu un pilier des nouvelles stratégies de développement de beaucoup de grandes entreprises, qui voient en lui un fort levier de croissance à activer. Le CA bio des grands et très grands groupes en GMS a progressé de 24,8 % sur l'année, à 1,99 milliard d'euros. Les références proposées ont augmenté de 33 %. Epicerie salée, sucrée, boissons, surgelés, crèmerie, produits d'hygiène, tous les rayons ont été impactés par cette accélération.

Plusieurs candidats à l'élection présidentielle américaine 2020 envisagent de prendre des mesures contre la puissance des grandes entreprises américaines de nouvelles technologies, et notamment les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple). Elizabeth Warren prévoit par exemple de remettre en question plusieurs rachats d'entreprise effectués par ces grands groupes ces dernières années (Facebook qui avait acquis Instagram et WhatsApp, Amazon qui avait racheté Whole Foods, etc.), et de modifier le fonctionnement de leurs plateformes.

Depuis mars 2017, les sociétés françaises de plus de 5000 salariés doivent établir des plans de vigilance afin d'identifier les risques potentiels que leur activité crée en lien avec l'environnement, la santé et les droits humains. Mais la loi reste assez flou sur le cadre des activités des entreprises, et n'a pas non plus indiqué une date limite claire de rendu des plans. Près de deux ans après le passage de la loi, certains grands groupes n'ont donc pas toujours officiellement dévoilé leurs mesures, et d'autres l'ont fait en ne détaillant pas réellement ce qu'ils comptaient mettre en place.

Le but des géants américains et chinois ? Eliminer l'homme du monde du travail...

Depuis le début des années 2000, le "féminisme de marché" gagne du terrain en France. Ces réseaux et organismes féminins s'immiscent dans le monde économique et financier afin de défendre l'accès et la présence des femmes au sein des plus hautes sphères et de l'entrepreneuriat. En 2011, la loi Copé-Zimmerman, qui oblige les entreprises de plus de 500 salariés et au CA supérieur à 50 millions d'euros à avoir au moins 40 % de collaborateurs de chaque sexe au sein de leur conseil d'administration, constitue un grand pas en avant pour la cause féministe.

Pour sa neuvième édition, le plus grand rendez-vous du secteur privé africain s'est concentré sur les moyens à mettre en oeuvre pour faire émerger davantage d'entreprises d'envergure continentale au chiffre d'affaires supérieur à 1 milliard de dollars. Sommaire. Ces futurs champions de la croissance. Et les gagnants sont...