Décryptage, en juin 2011, de la mise en place de plus en plus fréquente, par les entreprises françaises, d'un centre de services partagés (CSP), consistant à mutualiser les ″fonctions supports″ entre plusieurs entités d'un même groupe. Les bénéfices en matière de coûts et d'efficacité sont importants. Malgré tout, les entreprises doivent être vigilantes au fait qu'il s'agit d'une opération complexe, notamment en matière de ressources humaines, et qui entraîne de multiples bouleversements au sein de l'organisation.

Point, en novembre 2011, sur la responsabilité sociétale de l'entreprise, ou RSE, qui gagne en puissance en France avec la montée des pressions exercées sur les entreprises par leurs clients et le législateur. Pour obtenir une norme ou une certification, les entreprises font appel à des organismes de formation qui sensibiliseront cadres et travailleurs. La ″modernisation″ de l'entreprise par la RSE implique davantage un travail sur la qualité de l'engagement plutôt que la quantité, avec un travail fort sur l'humain. Zoom sur les difficultés pour mesurer les performances de la RSE.

Point, en novembre 2011, sur les possibilités pour les entreprises françaises de travailler avec le secteur ″protégé et adapté″, regroupant les travailleurs handicapés, qui peuvent répondre à un triple objectif : diminuer la contribution de l'entreprise à l'Agefiph, externaliser certaines tâches et accomplir une action citoyenne. Mais travailler avec le secteur protégé et adapté doit aussi prendre en compte les compétences professionnelles des travailleurs handicapés.

Tour d'horizon, en décembre 2011, des raisons qui peuvent pousser une entreprise à mener une restructuration et point sur les éléments à prendre en compte pour faire de ce changement une opération positive pour la société. Croissance trop faible ou développement trop rapide, mise en ordre en vue de fusion, d'absorption ou de cession, etc. Le tout est de se poser, de préférence en amont et avec les conseillers idoines, les bonnes questions. Qu'elles soient financières, juridiques ou sociales. Des conseils et des commentaires de professionnels.

Le point, en décembre 2011, sur la progression fulgurante de la dématérialisation dans tous les services des entreprises en France (marketing, comptabilité, achats, production...), qui implique d'uniformiser le processus et de le piloter de manière globale. De quoi justifier la création d'un poste de direction spécifique, ou à défaut un chef de projet, pour un rôle néanmoins plus temporaire que durable. Des détails avec commentaires de professionnels.

Décryptage, en mars 2012, de l'évolution des directions immobilières dans les entreprises françaises. Longtemps cantonnées à des fonctions techniques et de support, elles se sont vues attribuer, au cours des dernières années, de nouvelles missions très sensibles pour leur employeur qui ont accru leur visibilité et amélioré leur statut dans l'entreprise. Leur champs de compétences : le respect des normes environnementales et réglementaires, la gestion du risque, la valorisation des actifs, etc. Mais elles sont également exposées à de nouveaux risques juridiques et fiscaux.

Le point, en avril 2012, sur l'évolution de la gestion de la mobilité des salariés dans les entreprises françaises. Alors que les modes de travail changent (télétravail, mobilité accrue, utilisation des nouvelles technologies, etc.), les gestionnaires de flotte de véhicules et ceux des voyages sortent peu à peu de leurs rôles traditionnels, prennent davantage d'importance et se rapprochent d'autres acteurs dans l'entreprise tels que les responsables RH (ressources humaines) ou la direction financière.

Le point sur l'impact de l'irruption de technologies de rupture, telle que la photographie numérique, le livre électronique, le café à dosette, etc., sur les marchés qu'elles concernent et leurs acteurs économiques. Elles imposent alors aux entreprises présentes de se remettre en questions.

Importance, pour les groupes français, de mettre en place une démarche de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE), malgré les transformations qu'elle implique : coût de mise en oeuvre, révision des stratégies en y intégrant des règles environnementales, sociales et de bonne gouvernance, voire même réévaluation des modèles économiques. Protection de l'environnement, respect des droits humains et des intérêts du client : des facteurs qui sont aujourd'hui synonymes de la bonne ou de la mauvaise image d'une entreprise.

Depuis la fin du XIXe siècle, la firme est avec le marché une des institutions majeures du capitalisme. L'historien américain, Alfred Chandler, affirmait même que la grande entreprise moderne a joué ″le rôle le plus fondamental dans la transformation des économies occidentales″. Mais qu'est-ce véritablement qu'une entreprise ? La définition de cette institution reste particulièrement ardue.

La hiérarchie intermédiaire est victime de la chasse aux coûts - et du culte du PDG tout-puissant. Elle joue pourtant un rôle essentiel dans l'entreprise.

Analyse approfondie, en octobre 2015, de la transformation digitale opérée sur l'organisation de l'entreprise en France et dans le monde suite à la généralisation des technologies de pointe. En presque deux décennies, Internet, réseaux sociaux et smartphones révolutionnent les outils, les services et la relation clients, le modèle économique et le management des entreprises. Ce phénomène étonne par sa puissance, sa rapidité (en un rien de temps, une entreprise numérique peut atteindre la valorisation d'un fleuron) et sa capacité de rebond ou d'accélération.