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Desplechin, Arnaud (1960-....)

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Bulletin : Première 498
Sa performance magistrale dans "Roubaix, une lumière" d'Arnaud Desplechin nous rappelle à quel point Roschdy Zem est l'un des plus sensibles et des plus insaisissables acteurs français. Portrait d'un géant aux pieds d'argile dont le cinquième film comme réalisateur, "Persona non grata" sort également en salles cet été 2019. En complément du portrait du comédien, le réalisateur Arnaud Desplechin décrit son intérêt pour le comédien dans l'article intitulé "Desplechin / Zem, double détente".
Numéros de page :
pp.72-77

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Avec "Roubaix, une lumière", Arnaud Desplechin s'empare d'un fait divers sordide pour réaliser un grand thriller social. Entretien fleuve avec un cinéaste pour qui la tâche du cinéma est d'aller à la rencontre du visage de l'Autre.
Numéros de page :
pp.78-85

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Le cinéaste hybride le réel le plus cru avec son univers familier. Et réussit son pari tant d'un point de vue formel que dans sa tension dramatique.
Numéros de page :
pp.52-53

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Arnaud Desplechin troque pour une deuxième fois sa casquette de réalisateur pour celle de metteur en scène de théâtre. L'enjeu est de taille : il s'agit de l'adaptation d'une des plus belles pièces contemporaines, "Angels in America" de Tony Kushner. La pièce entre au répertoire de la Comédie-Française, une fierté pour Desplechin. Il a eu la gentillesse de nous ouvrir les portes des répétitions, et de nous expliquer longuement son travail sur la pièce et avec les comédiens. Parions que la pièce sera l’événement théâtral de la rentrée janvier 2020.
Numéros de page :
pp.80-89

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De retour à la Comédie-Française pour l'entrée au répertoire d'"Angels in America" de Tony Kushner, le cinéaste Arnaud Desplechin évoque son rapport, d'abord problématique, au théâtre. Les planches et l'écran, une dialectique tout en finesse.
Numéros de page :
pp.38-45

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Critique du film "Lzq Fantômes d'Ismaël" d'Arnaud Despechin.
Numéros de page :
pp.28-30

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Le film s'ouvre sur le ton syncopé du récit d'espionnage paranoïaque avec un choeur de diplomates s'interrogeant sur le sort d'Ivan Dedalus, haut fonctionnaire dont les mutations dans différentes ambassades étrangères pourraient bien masquer des activités d'agent double. Flash-back sur l'arrivée au Quai d'Orsay du jeune homme atypique, avant qu'on découvre qu'il s'agit du film dans le film qu'est en train d'écrire Ismaël Vuillard.
Numéros de page :
pp.32-33

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Bulletin : L'Obs 2983
Le réalisateur de "Rois et reine" adapte "Tromperie" de son idole Philip Roth, histoire de littérature et de sexe filmée dans un espace clos entre un écrivain américain et sa maîtresse anglaise. Entretien.
Numéros de page :
pp.128-129

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Date parution pério
2018-03-01
Les Fantômes d'Ismaël, le dernier long métrage (à ce jour) d'Arnaud Desplechin a été présenté l'an passé en compétition au Festival de Cannes, avant de sortir dans la foulée dans les salles. Un beau film, tout à fait dans l'esprit de ceux qui année après année s'agrègent à l'oeuvre du cinéaste, pour former un tout aussi cohérent qu'intrigant. Les Fantômes d'Ismaël mettait en scène un trio amoureux, un homme et deux femmes. Lui avait aimé la première, qui avait disparu depuis très longtemps, avant qu'il ne rencontre la seconde.
Numéros de page :
pp.130-133

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Date parution pério
2017-05-01
La présentation du nouveau film d'Arnaud Desplechin en ouverture du Festival de Cannes sonne comme une forme d'excuse après l'incompréhensible non-sélection, il y a deux ans, de son précédent film, "Trois souvenirs de ma jeunesse", qui avait du coup fait le bonheur de la Quinzaine des réalisateurs.
Numéros de page :
pp.136-139

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Date parution pério
2017-05-18
Vivants ou morts, réels ou imaginaires, les fantômes d'Ismaël sont ceux d'Arnaud Desplechin, qui met en scène son alter ego Amalric/Vuillard dans un grand mashup hitchcocko-bergmano-truffaldien.
Numéros de page :
p.102

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Date parution pério
2021-12-01
Alors que vient de paraître le livre où il raconte leur liaison, qui s'est terminée deux ans plus tôt, l'écrivain Philip (Denis Podalydès) demande à l'Anglaise mariée qu'il revoit pour la première fois (Léa Seydoux) quel personnage de "L'Odyssée elle serait : « Nausicaa, Calypso ? ». La réponse lui coupe l'herbe sous le pied, forçant le contrechamp : « Homère ». Sommaire. Une odyssée, la critique du film par Charlotte Garson. Roth/Desplechin, ma vie textuelle.
Numéros de page :
pp.34-36, 38-39