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Desplechin, Arnaud (1960-....)

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"Roubaix, une lumière" est un drame réel plutôt que réaliste ou naturaliste. Arnaud Desplechin organise d'évidence le déploiement du film sur un territoire connu, et déjà maintes fois sollicité dans son oeuvre mais, outre que ce sont d'autres aspects et quartiers de la ville que l'on pouvait voir dans ses films depuis "La Vie des morts" (1991), c'est bel et bien la trame du réel qui donne son aplomb au film.
Numéros de page :
pp.40-41

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J'ai vu les "Angels in America" en 1996, je crois, au théâtre d'Aubervilliers, un dimanche - la création à Avignon datait de 1994. Le temps a passé. Mais la pièce restait tapie dans mon esprit.
Numéros de page :
pp.50-53

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"Les Fantômes d'Ismaël" dressent le portrait d'un homme, réalisateur, pris entre trois femmes. Il s'inscrit dans la continuité de la saga des Vuillard, racontée dans vos autres films, et d'une lecture de l'œuvre du philosophe Stanley Cavell qui irrigue votre travail depuis de nombreuses années. Comment se sont construits les rapports d'Ismaël avec Sylvia (Charlotte Gainsbourg), Carlotta (Marion Cotillard) et Faunia (Alba Rohrwacher), et que doivent-ils à votre lecture de S. Cavell ?...
Numéros de page :
pp.126-133

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Pour son retour sur Arte, la série à succès "'En thérapie" fait appel à des cinéastes, dont Arnaud Desplechin et Emmanuelle Bercot qui racontent comment non sans difficulté, ils se sont pliés au jeu et aux codes de la psychanalyse...
Numéros de page :
pp.68-71

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Bulletin : Transfuge 154
Avec "Tromperie", Arnaud Desplechin adapte Philip Roth, son écrivain favori. Occasion d'évoquer les relations hommes-femmes et les ruses de la création, dans le film et en interview.
Numéros de page :
pp.66-73

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Auteurs
Elle a débuté chez Arnaud Desplechin dans ''Comment je me suis disputé... "et lui, dans "Un conte de Noël". Marion Cotillard et Melvil Poupaud retrouvent le cinéaste pour "Frère et soeur", en compétition à Cannes. Interview à deux voix.
Numéros de page :
pp.72-74

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Auteurs
Ces deux-là se haïssent plus que tout. Marion Cotillard et Melvil Poupaud incarnent magistralement le mystère et les paradoxes de ce sentiment corrosif et toujours prêt à rompre.
Numéros de page :
pp.122-123

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Bulletin : Marianne 1314
David Cronenberg et Arnaud Desplechin font, l'un comme l'autre, partie des chouchous du Festival international du film, où leurs récits intimes et agités, souvent douloureux, parfois même dérangeants, ont (presque) toujours été soutenus et célébrés. Ils sont tous deux de retour en sélection officielle ce printemps, avec des films dont la sortie en salles coïncide avec le festival.
Numéros de page :
pp.68-69

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Après le décevant "Tromperie", Desplechin revient en grande forme avec un film où il explore les histoires d'amour/haine familiales avec une dextérité toujours aussi fascinante. Marion Cotillard y trouve un de ses plus beaux rôles. Elle ferait un magnifique prix d'interprétation cannois.
Numéros de page :
pp.68-69

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Avec "Les Fantômes d'Ismaël" Arnaud Desplechin réalise un magistral film-somme. Ismaël est un cinéaste, alcoolo-mélancolique, écartelé entre deux femmes, sa compagne et l'autre, celle qui a disparu des années avant et revient subitement. Ajoutez à ça un film dans le film, celui que tourne Ismaël, une rocambolesque histoire d'espionnage, un pan autobiographique (le Roubaix de Desplechin), et vous tenez un grand conte de cinéma. Rencontre avec le réalisateur.
Numéros de page :
pp.98-105

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Dans sa sélection officielle comme dans ses sections parallèles, le 70e Festival de Cannes s'avère prodigue en films excitants a priori. Le très substantiel "Les Fantômes d'Ismaël" d'Arnaud Desplechin, avec Marion Cotillard et Charlotte Gainsbourg, en sera l'une des attractions majeures. Interview.
Numéros de page :
pp.32-39

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Titres recensés : "Les fantômes d'Ismaël", d'Arnaud Desplechin ; Centenaire Jean Rouch : le cinéma comme art du "potlatch" ; "L'amant d'un jour" de Philippe Garrel ; "Drôles d'oiseaux", d'Elise Girard ; "Rodin", Jacques Doillon ; "Une famille heureuse" de Nana Ekvtimishvili et Simon Gross ; "Churchill" de Jonathan Teplitzky ; "Le Vénérable W." de Barbet Schroeder ; "Creepy" de Kiyoshi Kurosawa.
Numéros de page :
pp.107-114