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Direction d'acteur

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Auteurs
Comment fait-on travailler des enfants acteurs ? Selon quelles règles ? Et quelles limites ? Enquête sur des acteurs pas comme les autres, où se côtoient droit du travail et protection de l'enfance.
Numéros de page :
pp.72-75

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On revient souvent à George Cukor, puis on l'oublie, ou on le cite au passage, par exemple dans des courants de pensée qui minimisent le metteur en scène ("gender studies", "star studies", "queer studies"). Une rétrospective complète à la Cinémathèque française datant d'il y a une douzaine d'années déjà, nous avait fait découvrir ses premiers films, résolument "pre-Code" et parfois étonnants ("Positif" no 152, février 2007). En 2013, sortait un ouvrage collectif stimulant et inégal doté de propos inédits ("George Cukor.
Numéros de page :
pp.90-111

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Après "Victoria", Justine Triet donne un autre prénom à Virginie Efira et porte leur collaboration à un point d'incandescence rare. Dans "Sibyl", Efira est de toutes les scènes, se partage entre le passé et le présent, entre la sobriété et l'ivresse, entre le soleil méditerranéen et les ténèbres de l'évanouissement. Sommaire. Anatomie de l'actrice, critique du film. Une nécessité de la fiction, entretien avec Justine Triet.
Numéros de page :
pp.24-28

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Circulation entre passé et présent, entre contre-culture de naguère et richesse glorieuse d'aujourd'hui, entre Madrid et province: le nouveau film de Pedro Almodovar reprend des motifs déjà esquissés dans son précédent long métrage, "Julieta", qui marquait l'entrée dans une nouvelle phase de son oeuvre. Une phase plus personnelle, plus tourmentée, où le cinéma apparaît comme le seul remède contre la douleur de la solitude et de la perte et qui réaffirme avec force que tous les autres arts (en particulier l'écriture et la peinture) sont source de vie et d'inspiration pour le cinéaste.
Numéros de page :
pp.20-26

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"Ce soir ou jamais" (1961), "Adorable Menteuse" (1962), "L'Ours et la Poupée" (1969), "Raphaël ou le Débauché" (1971), "Le Dossier 51" (1978), "Le Voyage en douce" (1980), "Péril en la demeure" (1985), "La Lectrice" (1988) ou "La Maladie de Sachs" (1999) furent d'éclatantes réussites, mais il ne faut pas négliger d'autres films plus secrets... Chez Michel Deville, le rituel du jeu masque la profondeur des émotions.
Numéros de page :
pp.94-115

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Jean-Sébastien Chauvin signe la critique du film dans son article intitulé "Les franges de la réalité". Joachim Lepastier interroge le réalisateur sur le tournage du film.
Numéros de page :
pp.50-53

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Retour sur l'oeuvre mystique et politique d'un cinéaste marginalisé, mort le 11 mai 2019 à 74 ans.
Numéros de page :
pp.80-84

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Avec "Le Jeune Ahmed", Jean-Pierre et Luc Dardenne reviennent, pour ainsi dire, aux fondamentaux de leur cinéma depuis "La Promesse" (1996) : suivre le parcours d'un adolescent qui « grandit » face aux circonstances qui l'entourent. Mais attention, qu'il n'y ait pas de malentendu : si vous avez entendu ou lu que les frères s'intéressent ici à la radicalisation d'un jeune musulman, vous avez été mal informé. Avant le début du film, Ahmed est déjà radicalisé. Il a douze ans, c'est « l'enfant au coran ». La question posée est donc : la "déradicalisation" est-elle possible ? Ce qui change tout !
Numéros de page :
pp.36-42

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Romain Laguna et Zéa Duprez reviennent sur "Les Météorites".
Numéros de page :
pp.92-93

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Bruno Dumont poursuit son travail autour de la figure de Jeanne d'Arc avec "Jeanne". Les "Cahiers" consacrent quatre articles à "Jeanne" : "L'enfant qui voulait tuer la guerre", critique du film ; "Le coeur de Jeanne", entretien avec le réalisateur ; "Un cinéaste sans images", entretien avec le compositeur et chanteur Christophe, au casting du film ; "La petite Lise", entretien avec Julie Sokolowski.
Numéros de page :
pp.16-24, 26-28

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Dix-huit mois après "La Prière", Cédric Kahn déroute de nouveau avec "Fête de famille", film inclassable qui tient à la fois de la comédie de groupe et de l'autoportrait pudique, de la satire sociale mordante et du mélodrame déchirant. On se croirait parfois chez Pialat, maître évident, pour la violence des affects et pour la justesse absolue de ton, mais un Pialat apaisé qui ne répugnerait pas ici à un gag désopilant, là à un envol lyrique sur fond de Chopin.
Numéros de page :
pp.6-12

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Après la révélation cannoise, section Un certain regard et prix Fipresci 2017, de "Tesnota - Une vie à l'étroit", dont nous avions fait notre couverture (no 685, mars 2018), nous attendions évidemment beaucoup du deuxième film du jeune Kantemir Balagov. "Une grande fille" apparaît au premier abord radicalement différent de son oeuvre précédente tournée dans sa ville natale, Nachlik, en Kabardie : après une chronique contemporaine mêlée de thriller social, voici un film d'époque magistralement mis en scène, situé à Leningrad, juste après la Seconde Guerre mondiale.
Numéros de page :
pp.22-28