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Triet, Justine (1978-....)

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Après "Victoria", Justine Triet donne un autre prénom à Virginie Efira et porte leur collaboration à un point d'incandescence rare. Dans "Sibyl", Efira est de toutes les scènes, se partage entre le passé et le présent, entre la sobriété et l'ivresse, entre le soleil méditerranéen et les ténèbres de l'évanouissement. Sommaire. Anatomie de l'actrice, critique du film. Une nécessité de la fiction, entretien avec Justine Triet.
Numéros de page :
pp.24-28

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entretien
Une première ministre « estomaquée », un Président de la République silencieux, une volée de bois vert. Voilà comment a été accueillie la Palme d’or remise cette année à Justine Triet pour Anatomie d’une chute. De retour à Paris, la cinéaste accueille chez elle, en pleine crise d’allergie. Elle revient sur ce grand barouf et sur ce qui a infusé – de Richard Fleischer à Faites entrer l’accusé – dans son film le plus maîtrisé à ce jour.
Numéros de page :
11 p. / p. 84-94 : ill. en coul.

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Une Première ministre "estomaquée", un président de la République silencieux, une volée de bois vert. Voilà comment a été accueillie la Palme d'or remise cette année à Justine Triet pour "Anatomie d'une chute" (en salles le 23 août), son quatrième long-métrage. Sans doute en aurait-il été autrement si la cinéaste n'avait pas fustigé la réforme des retraites et alerté sur la disparition de l'exception culturelle française dans son discours.
Numéros de page :
pp.84-94

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Auteurs
A l'affiche de "Sibyl", Adèle Exarchopoulos et Virginie Efira échangent sur leur rapport à leur métier, la direction d'actrices de Justine Triet et leur belle rencontre lors du tournage.
Numéros de page :
pp.24-28

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Auteurs
En sept mots-clés, Justine Triet explique la genèse de "Sibyl", ses sources d'inspiration et les enjeux cinématographiques auxquels elle s'est confrontée.
Numéros de page :
pp.30-31

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Avec "Sibyl", Justine Triet organise un subtil et tragicomique chassé-croisé entre deux femmes, Adèle Exarchopoulos et Virginie Efira. Maîtrisant tous les registres, cette dernière y est extraordinaire.
Numéros de page :
pp.32-33

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Auteurs
Le jury de cette soixante-douzième édition a décerné la Palme d’or à la fable grinçante du Coréen Bong Joon-ho, "Parasite", au terme d’une quinzaine mémorable.
Numéros de page :
pp.26-28

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Auteurs
Date parution pério
2024-02-03
Pour "Anatomie d'une chute" comme pour ses concurrents, viser le sacre suprême, c'est un marathon de plusieurs mois : de la sueur, des millions de dollars et des émotions sincères.
Numéros de page :
pp.21-23

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Bulletin : Télérama 3867
Date parution pério
2024-02-24
C’est un moment d’anthologie dans un film époustouflant : la diffusion audio, lors du procès de Sandra, accusée d’avoir tué son mari, d’un violent échange au sein du couple. La réalisatrice d’"Anatomie d’une chute", Justine Triet, et son coscénariste Arthur Harari dissèquent la scène.
Numéros de page :
pp.71-73

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Auteurs
Date parution pério
2023-05-13
"La bataille de Solferino", "Victoria", "Sibyl", en trois longs-métrages, la réalisatrice Justine Triet a su imposer un cinéma d'auteur singulier et à succès. Dès ses débuts, au sortir des beaux-arts, la cinéaste de 44 ans s'est entourée d'un noyau dur de collaborateurs fidèles. Une troupe où règne, du scénario au montage, un dialogue permanent, et qu'elle n'hésite pas à pousser dans ses retranchements. Comme pour son quatrième film, "Anatomie d'une chute", une chronique judiciaire à sa façon, en compétition à Cannes.
Numéros de page :
pp.64-71

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Date parution pério
2023-06-01
A Cannes, la réalisatrice d'"Anatomie d'une chute" se perd dans une diatribe anti-système démagogique. Dommage.
Numéros de page :
pp.108-109

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Auteurs
Bulletin : Première 542
Date parution pério
2023-07-01
Cannes, ou l'éternelle pirouette. Voici comment l'édition 2023, commencée dans la controverse, longtemps écrasée par un film plus que discutable et peu avare en moments d'embarras instagrammes, s'est transformée in extremis en triomphe pour son suprême leader et pour le cinéma français.
Numéros de page :
pp.44-49