Un ambitieux quartier d'affaires très futuriste fleurit au débouché de la plaine du Var.

Plus grands, plus attractifs, les espaces de travail partagés fleurissent dans l'Hexagone.

Le Brexit a poussé un nombre non-négligeable d'entreprises a quitté la capitale britannique pour aller se réfugier dans d'autres pays afin de rester au coeur du marché européen. Paris apparaît alors comme une destination possible et lutte avec Francfort, Luxembourg ou Dublin pour attirer le plus possible de ces sociétés. Pour l'immobilier d'affaires parisien, les opportunités à saisir sont grandes, mais le peu de mètres carrés actuellement disponible handicapent le marché. Le taux de vacance a baissé en 2018 en Ile-de-France, au grand dam de ceux qui voulaient profiter du Brexit.

Avec 29 milliards d'euros de montants engagés sur l'ensemble de l'année 2018, le marché français de l'immobilier tertiaire a connu une année exceptionnelle, battant son précédent record de l'année 2007. Certes le marché des bureaux représente une part prépondérante de ce volume, notamment du fait du coworking, mais certains segments comme l'immobilier logistique et les résidences services (résidences étudiants ou résidences services seniors pour les personnes âgées) sont particulièrement dynamiques. Des précisions. Données chiffrées.

Devenu encombrant avant l’introduction en Bourse de sa société de bureaux partagés WeWork, le PDG a dû démissionner. Quelques jours plus tôt, le Wall Street Journal dressait son portrait. Décapant.

Conséquence de la crise, le leader européen des centres commerciaux a vu son activité s'effondrer. Mais sa diversification dans le secteur du loisir pourrait lui permettre de rebondir.

Entre deux tours. Bousculé par le télétravail, le quartier d'affaires doit rectifier son modèle.

Les entreprises peinent à déterminer leurs besoins. Celles qui déménagent choisissent des surfaces plus petites et plus économes en énergie.

Le numéro un mondial du coworking se développe en France à vitesse grand V. "L'Obs" a passé une journée dans un des immeubles du groupe, à Paris.

Le bâtiment emblématique du quartier d'affaires d'Abidjan fête ses cinquante ans. Le début d'une nouvelle vie, après un long abandon ?

Les défis se multiplient pour AG Real Estate, l'un des plus grands propriétaires belges d'immobilier commercial. La pandémie n'a fait qu'accélérer les besoins de transformation d'un secteur déjà en difficulté. Ce qui l'oblige à se réinventer pour garder ses visiteurs, ainsi qu'à proposer une offre bien plus attractive, histoire de tenter aussi de récupérer les clients séduits par l'e-commerce

Malgré un contexte économique dominé par l’incertitude, l’immobilier logistique poursuit son développement, porté par la relocalisation d’outils industriels. La raréfaction du foncier et l’investissement dans de nouvelles technologies pourraient conduire à des projets moins nombreux mais de meilleure qualité, et surtout plus respectueux de l’environnement. Données chiffrées.