Placements sur livrets, contrats d'assurance-vie, actions, immobilier... Comment s'y retrouver dans la jungle des produits d'épargne et éviter les arnaques. Sommaire. Livret A. Assurance-vie. Bourse. Immobilier. Bitcoin, trading.

Après deux années marquées par l'extension du marché vers les nouvelles métropoles sur le marché français de l'immobilier logistique, la dorsale, qui s'étend entre Lille, Paris, Lyon et Marseille, connaît un regain d'attractivité, en 2018. Autre tendance : face aux tensions du marché, entré dans un cycle haussier, la reconversion de friches industrielles se pratique de plus en plus.

L'essor du télétravail pourrait accélérer la mutation du territoire bruxellois. Des dizaines de milliers de mètres carrés de bureau vont se libérer, soit via une rationalisation des surfaces, soit via le besoin d'espaces "up-to-date". De quoi dynamiser la reconversion de quartiers qui étaient jusqu'à présent monofonctionnels, comme le quartier nord ou le quartier européen. Une opportunité que la Région ne peut pas rater

Le marché français de l'immobilier logistique se porte bien. Conséquence de l'amélioration de la situation sanitaire et de l'environnement économique en France, le rattrapage de la demande placée se poursuit au premier semestre 2021, celle-ci atteignant 1,4 million de mètres carrés à la fin du mois de juin, soit une progression de 19 % par rapport à sa moyenne décennale, selon une étude publiée en juillet 2021 par Arthur Loyd Logistique.

Plus de collaboratif, de technologie et de services : le marché s’adapte aux nouveaux modes d’organisation du travail. Le point. Pas de chiffres.

En France, l'investissement immobilier commercial, que ce soit en centre-ville ou en centres commerciaux, a le vent en poupe. Apprécié des investisseurs institutionnels pour son caractère défensif et le rendement régulier qu'il procure, cet actif largement plébiscité par les gérants de portefeuille français et internationaux. Avec un rendement compris au premier semestre 2016 entre 3 % et 5 %, il a représenté 1,8 milliard d'euros d'investissement. Des détails avec avis d'experts et quelques données chiffrées.

Dans un contexte de reprise de l'activité économique, le marché français de l'immobilier logistique a connu en 2016 une année record avec près de 3,8 millions de m2 placés, contre un peu de moins de 2 M en 2012. Les entrepôts sont de plus en plus grands et de plus en plus équipés. Les investisseurs multiplient les projets, et ce, pour deux raisons principales : non seulement la demande accrue de la part de tous les utilisateurs potentiels, mais aussi le rendement attendu dans cette classe d'actifs immobiliers.

Bien que souvent ignoré, le crédit-bail est une solution aux multiples atouts, par rapport à un emprunt immobilier classique, pour une entreprise désireuse d'acheter ses locaux. Il permet à l'entreprise de devenir propriétaire du bien loué sans engager sa trésorerie, ni alourdir sa dette. De plus, pendant toute la durée de l'opération, le bâtiment reste la propriété du crédit-bailleur et ne figure donc pas à l'actif du bilan comptable du crédit-repreneur. Cette technique financière est désormais largement diffusée en France et tous types d'immeubles professionnels peuvent en faire l'objet.

De plus en plus convoitée par les grandes marques internationales, la plus belle avenue du monde voit ses prix exploser et sa physionomie changer, avec l'arrivée prochaine d'enseignes comme les Galeries Lafayette ou Apple.

Achat ou location ? La question est cruciale pour les entreprises françaises dans leurs choix immobiliers. Plusieurs théories s'affrontent selon les secteurs d'activité, la stratégie patrimoniale du dirigeant ou le degré de maturité de l'entreprise.

L'aménagement des bureaux s'impose comme une clé du bien-être des employés en 2018, dans un contexte de transformation des pratiques de travail pour aller vers davantage de flexibilité. L'absentéisme au travail a augmenté de 7,5 % entre 2010 et 2016, public et privé confondu. et pour les 18,3 millions de salariés du privé, l'impact du mal-être des employés représente un coût de 12 600 euros par an du fait de leur désengagement. Plusieurs entreprises réaménagent leurs espaces de travail pour proposer à leurs employés davantage d'ouverture et favoriser l'innovation.