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Industrie et commerce

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2,1 milliards d'euros, c'est le CA du petit électroménager entre janvier et août 2020, avec la vente de 36,9 millions de pièces sur cette période. Une tendance expliquée par le retour à la maison des Français avec le confinement du printemps, 46% d'entre eux cuisinent davantage désormais, mais aussi par la résilience du secteur dont la croissance varie entre 3 et 8% depuis une dizaine d'années. Données chiffrées : CA du secteur et évolution des ventes de certaines catégories du petit électroménager. Détails.
Numéros de page :
pp.42, 44

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Le marché du jouet a connu une baisse majeure de son CA entre janvier et fin septembre 2020 (-4% par rapport à 2020), tendance surtout liée au confinement du printemps 2020 car entre mi-mai et fin septembre 2020, son CA était nettement à la hausse (+6%). Les marques misent sur les loisirs créatifs à succès tels que le modelage (+20% de ventes depuis début 2020) ou encore le coloriage (+13% de CA entre janvier et août 2020), à l'inverse de l'édition (-6% entre janvier et fin août 2020). Détails.
Numéros de page :
pp.46, 48

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Le marché de la charcuterie a gagné 14% en valeur et 4% en volume entre janvier et juin 2020, son chiffre d'affaire s'élève à 4,16 milliards d'euros en cumul courant à fin septembre 2020, soit une hausse de 10,5%. La grande distribution mise sur des offres "santé" (+16% du CA de ce type d'offre en cumul annuel mobile à fin septembre 2020) et l'e-commerce (+36,9% des ventes en valeur de la charcuterie en cumul annuel mobile à fin septembre 2020). Détails. Données chiffrées : CA et évolution des ventes et des offres de la charcuterie, poids des différents segments de la charcuterie.
Numéros de page :
pp.50, 52

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Le poids du bio dans le rayon ultrafrais des grandes et moyennes surfaces française s'est élevé à 5,9%, pour un CA de 390,3 millions d'euros, en cumul annuel mobile à octobre 2020, selon Iri, soit un retrait de 0,1 point. Pour la première fois depuis longtemps, le bio n'est plus la locomotive de la croissance de ce rayon. La crise sanitaire de la Covid-19, en partie, responsable de cette situation. Mais les industriels doivent travailler leurs offres pour apporter plus de valeur ajoutée aux consommateurs avec un bio augmenté. Explications. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.62-65

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Générateurs d'achats récurrents et volumineux, les produits d'hygiène papier se prêtes bien à la livraison ou au drive. Le confinement du printemps 2020, lié à la pandémie de Covid-19, a boosté les ventes en ligne de papier de de la maison : +26,4% en valeur en e-commerce de grandes surfaces alimentaires, en cumul annuel mobile à début octobre 2020, selon Iri. En dehors des circuits traditionnels, des offres d'abonnement se multiplient sur Internet, du papier toilette aux produits d'incontinence. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.26-28, 30

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Le marché français des féculents sort renforcé de la crise sanitaire de la Covid-19 enregistrant une hausse de 10,2% en volume et de 11,4% en valeur, à 1,78 milliards d'euros, en cumul annuel mobile à septembre 2020 dans le circuit des grandes et moyennes surfaces (GMS). Le segment bio tire son épingle du jeu avec une croissance de plus de 12% tant en volume qu'en valeur. Les industriels veulent ancrer leurs produits dans les usages quotidiens des consommateurs pour continuer de croître. Détails et données chiffrées (parts de marché des principaux acteurs).
Numéros de page :
pp.39-40

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Un danger réel pèse actuellement en France sur les lieux régionaux dédiés à l'art contemporain. Fragilisés et soumis à des impératifs capitalistes de productivité et de rentabilité par les collectivités publiques, ils voient leur raison d'être dénaturée et leur existence menacée.
Numéros de page :
pp.70-71

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A l'affiche cette année d' "Enorme", l'insolente comédie post-genre de Sophie Letourneur, la comédienne évoque ici la place de la culture et son futur rôle de maîtresse de cérémonie des César 2021.
Numéros de page :
pp.16-17

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Juste rémunération des producteurs, accès à des produits bons pour l'homme comme pour la planète, authenticité des informations indiquées, telle est l'éthique de La Ruche qui dit oui, communauté d'achats née en 2010.
Numéros de page :
pp.82-83

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La demande des consommateurs pour plus de naturalité se retrouve aussi dans le secteur de la literie (13,3% du marché des meubles en 2019) qui développe des nouvelles gammes de produits faits à partir de matières bio et naturelles. Leurs ventes ont d'ailleurs augmenté de 4% entre 2018 et 2019. Au delà de la conviction idéologique, ces matelas offrent davantage de bien-être, avec des propriétés thermorégulatrices et anallergiques. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.24, 26

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Le secteur des boissons s'adapte aux attentes des consommateurs : du vrac, des consignes et plus de naturalité tant dans le contenu que dans le contenant. Les différents segments du secteur connaissent des évolutions bien différentes avec d'un côté les bières et cidres (+10,4% de CA en cumul annuel à date du 6 janvier à fin juillet 2019) et de l'autre les mousseux et champagnes (-6,6% du CA sur la même période). Données chiffrées. Détails.
Numéros de page :
pp.28-30, 32, 34

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Le secteur des biscuits sucrés (2,26 milliards d'euros de CA en cumul annuel mobile à août 2020) a pâti du fait-maison lié au confinement du printemps 2020, en particulier les biscuits petit déjeuner (-12,3% de CA en valeur en cumul annuel à août 2020). Les géants du biscuit, peu innovants depuis 1 an et demi, misent désormais sur des nouveaux produits plus responsables et sur le drive. Données chiffrées : évolution du CA des différents segments du secteur, part de marché des principaux acteurs. Détails.
Numéros de page :
pp.36-37