La mise en place d'une veille s'inscrit dans une logique d'aide à la décision. Celle-ci réclame non pas une information brute, aussi pertinente soit elle, mais une information analysée ; le produit qui la présente devant être lui-même adapté aux objectifs ciblés.

Formaliser le recueil et la diffusion des informations sur les concurrents et les projets d'affaires donne à l'entreprise textile Dickson Constant une longueur d'avance sur le marché des toiles destinées à la protection solaire.

Elle est loin de l'image du veilleur, presque espion, en costume sombre et long manteau. Céline Grasset, nous offre une autre image de son métier basé plus volontiers sur la notion de réseau que sur celle de guerre économique.

Après la journée de la femme, il faudra désormais compter avec la journée des femmes de l'IE. Ou comment l'intelligence économique (IE) se conjugue au féminin.

L'affaire Rhodia a fait couler beaucoup d'encre puisqu'elle mettait en cause les plus hautes personnalités de l'Etat. A ces mises en cause, s'est ajoutée l'évocation de plusieurs sociétés d'intelligence économique (IE) qui auraient traqué des informations les plus confidentielles.

La gestion structurée de l'information, une nécessité pour toutes les entreprises, grandes et petites.

Décrypter la plus petite pensée... Telle est l'une des phrases slogans 2009 du salon SEMO des études marketing, media & opinion des 4-5 novembre prochain. La veille économique n'est plus suffisante.

Knowledge management, benchmarking, veille stratégique. Dans un climat de concurrence féroce, même les TPE/PME ne peuvent plus s'accorder le luxe d'éluder une stratégie de protection de leurs innovations et de gestion de l'information. Tout ce qui est publié ou mis en ligne sur la société, que cela vienne de source interne ou externe, doit être scrupuleusement surveillé et limité. Sachant que les brevets peuvent protéger mais aussi aiguiller les concurrents, le dirigeant doit à chaque nouveau produit, à chaque nouvelle innovation, se poser les bonnes questions.

Le point, en février 2011, sur les initiatives des pouvoirs publics français et des entreprises pour lutter contre la contrefaçon, un véritable fléau moderne qui ne cesse de gagner du terrain (6 milliards d'euros de manque à gagner pour les entreprises françaises en 2008). La contrefaçon touche tous les secteurs : la mode, la culture, les jouets, les pièces détachées d'automobile, mais aussi la pharmacie ou encore le tabac.

Lumière, en 2011, sur le caractère stratégique de la protection des informations sensibles pour les entreprises françaises, qui intègrent de plus en plus la nécessité de se prémunir contre les malveillances extérieures ou internes qui peuvent perturber son fonctionnement ou diffuser des informations sensibles. Les failles sont le plus souvent le fait de négligences humaines facilement évitables. La protection informatique passe par la sensibilisation des salariés aux bons comportements.

Décryptage, en décembre 2011, des opportunités que représentent les salons professionnels, incontournables carrefours de tendances, pour les entreprises désireuses d'effectuer rapidement une partie de leur veille concurrentielle. Ces types d'événements sont également des lieux de confrontation stratégiques entre les acteurs d'un même marché, et représentent à ce titre un risque accru en termes d'espionnage ou, plus fréquemment, de fuite d'informations confidentielles. Il est donc nécessaire de redoubler de vigilance en la matière.

En dépit d'un développement historique distinct, le secteur de la finance possède une matière particulièrement propice aux champs d'application de l'intelligence économique : l'information financière. Cette dernière joue un rôle primordial dans une industrie qui évolue au sein d'un environnement extrêmement concurrentiel en perpétuelle évolution. De nombreuses passerelles existent selon l'auteur entre la finance et l'IE. Les emprunter, comme il le suggère, permettrait un rapprochement des deux champs scientifiques et offrirait une nouvelle voie de développement pour l'IE.