Les SCPI françaises, sociétés civiles de placement immobilier, ont atteint un montant de collecte record en 2017 en terminant l'année à plus de 6 milliards d'euros, en progression de 15,2 %. Ce placement demeure peu risqué, mais offre malgré tout une prime de risque importante qui séduit les investisseurs. Il reste aussi intéressant pour son rendement, même si ce dernier stagne depuis quelques années.

Acheter un bien immobilier classé ou inscrit Monument historique en vue de le rénover reste le seul moyen pour les contribuables aux revenus élevés de bénéficier d'un système de déduction d'impôt entièrement déplafonné, du fait des dispositions fiscales contenues dans la loi de finances pour l'année 2018. La loi Monuments historiques, votée en 1913 pour favoriser la conservation du patrimoine national présentant un intérêt public réel, a vu ses modalités maintes fois remaniées.

En dépit de la mise en place de l'Impôt sur la fortune immobilière (IFI), de la hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG) en janvier 2018 et d'une hausse des prix dans l'ancien qui se poursuit, investir dans l'ancien pour louer reste rentable sur le long terme. à condition de bien choisir son emplacement et surtout d'effectuer des travaux de rénovation, qu'ils soient d'embellissement ou énergétiques. Des travaux qui pourront être financés par des dispositifs de défiscalisation et permettront de louer mieux et plus facilement.

La France compte 40 000 châteaux sur son territoire. Des biens immobilier atypiques, à tous les prix : de quelques centaines de milliers d'euros à plusieurs millions. Marché de niche, les châteaux attirent principalement deux catégories de clientèle : la première est passionnée d'histoire et de belles pierres, la seconde convoite une belle demeure dotée du charme de l'envie. Lors de l'achat d'un château, les investisseurs doivent prendre en compte l'entretien et la rénovation. Il est possible de rentabiliser son investissement en mettant son bien à profit d'une activité lucrative.

Contrat aléatoire par essence, l'achat en viager devient beaucoup moins incertain quand il porte sur une centaine de biens différents.

Les investisseurs sont de plus en plus nombreux à vouloir acheter dans l'immobilier et l'infrastructure. Mais ils ne veulent généralement rien savoir de la Bourse. Résultat: ceux qui investissen dans des actions immobilières ou d'infrastructure s'en sortent souvent à meilleur compte.

Les taux d'intérêt toujours au plus bas font les choux gras de l'immobilier d'investissement. Mais le prix élevé des placements classiques dans la brique en limite l'attrait et le rendement pour le petit investisseur. L'immobilier récréatif serait-il une alternative intéressante ?

À côté des investissements classiques dans l'immobilier - l'appartement, le kot ou l'immeuble de rapport -, d'autres segments tentent de se frayer un chemin. Certains mêlant plaisir et diversification du portefeuille. Comme le foncier viticole, un investissement de plus en plus en vogue en France. Même si le ticket d'entrée se chifre en millions d'euros

Les Belges ont continué à acheter massivement des résidences econdaires à l'étranger au cours de l'année écoulée. Leur pays de destination préféré est, de loin, l'Espagne. Mais si vous envisagez de franchir également le pas, veillez à n'acheter que là où vous pourriez vous établir vous-même. Car l'investissement est rarement aussi rentable qu'escompté.

Des stars du monde sportif comme Cristiano Ronaldo et Andre Agassi ont déjà investi des millions d'euros dans le secteur hôtelier. Pourtant, pas besoin, de disposer d'une fortune colossale pour investir vous aussi dans le secteur.

Prêts plus difficiles à obtenir, suppléments d'impôts... Dans le viseur de la Banque nationale mais aussi du fisc et peut-être du prochain gouvernement, les épargnants qui investissent dans la brique voient leur ciel s'assombrir. Depuis ce 1er janvier, acheter une maison ou un appartement pour faire fructifier ses économies est devenu plus compliqué. Gros plan, en sept questions, sur les nouvelles régles du jeu de l'investissement locatif.

La période actuelle entraîne-t-elle une redistribution des cartes en matière d'investissement immobilier ? Il semble que les particuliers pourraient être encore plus concervateurs que d'habitude. Si le petit appartement et l'immeuble de rapport restent des incontournables, le rez commercial et la colocation pourraient davantage pâtir de la situation actuelle