Des études capables de livrer une information dans les 24 heures et à des tatrifs concurrentiels... L'offre est désormais disponible sur le marché français des études. Pour répondre aux besoins des agences de communication et des annonceurs de plus en plus à la demande d'information de dernière minute, les instituts se sont adaptés. Ils ont développé les études express. Ces dernières sont automatisées et assorties de recommandations. Toutefois, elle sont complémentaires des études qualitatives et sont surtout destinées aux problématiques marketing et non stratégiques. Des précisions.

En se posant, à travers un sondage, comme le porte-voix du peuple, l'association 3ich tounsi jette un pavé dans la mare.

Le secteur des études de satisfaction évolue pour s'adapter aux comportements des clients. Les études deviennent multi-techniques, multimédias et se basent parfois sur l'intelligence artificielle. Elles se focalisent de plus en plus sur ce que le client veut exprimer et utilisent aussi les données clients des entreprises pour s’enrichir. Le point. Pas de chiffres.

N’oublions jamais que la statistique n’est pas une science exacte.

Spécialiste des études d'opinion, Alain Garrigou s'interroge sur les conflits d'intérêts entre les instituts, les politiques et les médias.

On l’a accusé d’avoir détruit l’école, sapé l’autorité, encouragé l’individualisme et le capitalisme débridé... Dans un sondage exclusif, réalisé par Harris Interactive pour "Le Nouveau Magazine littéraire", une majorité de Français salue les conséquences « positives » du mouvement. Sans oublier, bien sûr, d’en critiquer certains aspects. Sommaire. Mai 68 Superstar. De Mai pense ce qu’il te plaît. Née vingt ans après : Je n’ai pas fait 68 mais… Trois slogans et nous et nous : échos en 2018. Le roman post-68 : l'introuvable récit. Secrets d'histoire : 68 archivivant.

Malgré la crise sanitaire actuelle, malgré les affaires du sang contaminé et de la vache folle, malgré la défiance envers les OGM ou le nucléaire, la science continue de bénéficier d’un large soutien de la part des Français. Du moins globalement. Car, si l’on regarde de plus près les sondages, son capital à dominante positive s’est converti en relative incertitude : du bien ou du mal peuvent, pour une majorité du public, résulter de l’activité scientifique. Les chercheurs et chercheuses, quant à eux, ne jouissent plus du même crédit.

« Emmanuel Macron peine à convaincre les Français de ses choix économiques », « Les annonces d'Edouard Philippe ne convainquent pas les syndicats »... En ce début d'année 2020, pas un jour ne passe sans que les journaux, les radios et les télévisions françaises ne reprennent l'antienne désormais monotone. Poursuivi par ces nouvelles jusqu'à l'écran de son téléphone de poche - « 69 % des Français estiment qu'Emmanuel Macron ne sera pas réélu en 2022 » - l'on songe à cette fameuse incommunicabilité des êtres et des âmes qui a inspiré à François Mauriac une grande partie de ses romans.