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Bong, Joon-Ho (1969-....)

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Malgré son titre évoquant une épidémie ou un monstre extraterrestre, "Parasite" s'avère une comédie sociale, noire et ambitieuse, ancrée dans la Corée contemporaine. Après dix ans consacrés à des productions internationales ("Snowpiercer", "Okja"), Bong Joon-ho est bien revenu au pays. Il en retrouve les acteurs comme le fidèle Song Kang-ho et le très populaire Lee Sun-kun ("Haewen et les hommes", "A Hard Day"), mais rassemble également trois générations composant les deux familles du film.
Numéros de page :
pp.20-22

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La Palme d'or décernée au formidable "Parasite" consacre l'oeuvre de Bong Joon-ho. C'est une joie de voir ainsi couronné ce cinéaste de 49 ans au moment où, après deux productions internationales ("Transperceneige", "Okja"), il revient au pays de ses chefs-d'oeuvre ("Memories of Murder", "The Host"). Cet entretien a été réalisé avant Cannes et la critique de "Parasite", en salle depuis le 5 juin, été publiée dans notre numéro de mai 2019.
Numéros de page :
pp.38-40

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Hubert Niogret livre la critique du film de Bong Joon-ho, "Parasite".
Numéros de page :
pp.54-55

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L’instrumentalisation idéologique des représentations de la «nature» dans le cinéma sud-coréen, associées ou non à la notion d’écologie, n’est pas nouvelle mais évolue rapidement. La dichotomie entre films «de la terre» et films «de la ville» a longtemps dominé. La problématique n’y est pas celle de l’écologie, mais celle de la tradition (assimilée à un monde révolu) et de la modernité mise en chantier par un Etat et des industriels tout-puissants (nouveau productivisme industriel et urbanisation à l’occidentale).
Numéros de page :
pp.200-203

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Avec "Okja", blockbuster d'anticipation virtuose, le Coréen Bong Joon-ho révèle les contradictions d'une humanité qui souhaite protéger les animaux tout en les dévorant. Rencontre.
Numéros de page :
pp.52-55

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Sommaire. Le cinéma modifié, retour sur "Okja". Titres recensés : "Dunkerque", Christopher Nolan ; "120 battements par minute", Robin Campillo ; "Une Femme douce", Sergei Loznitsa ; "Jeannette, l'enfance de Jeanne d'Arc", Bruno Dumont ; "Visages Villages", Agnès Varda et JR ; "Napalm", Claude Lanzmann ; "Barbara", Mathieu Amalric ; "Le Redoutable", Michel Hazanavicius.
Numéros de page :
pp.111-118

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Le jury de cette soixante-douzième édition a décerné la Palme d’or à la fable grinçante du Coréen Bong Joon-ho, "Parasite", au terme d’une quinzaine mémorable.
Numéros de page :
pp.26-28

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Personnages reclus cherchant à échapper à leur situation, mise en scène et en espaces des rapports de classes ... l'énergique Bong Joon-Ho décrypte ici des thèmes clés de "Parasite", Palme d'or cannoise 2019. Il confie également son admiration pour Agnès Varda et Claude Chabrol, dont "Que la bête meure" l'a inspiré pour ce nouveau nlm.
Numéros de page :
pp.22-26

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Une famille sans-le-sou pénètre le quotidien d'une famille bourgeoise, et tout bascule. Le réalisateur sud-coréen construit une fable sociale qui terrorise autant qu'elle amuse dans un film brillant de maîtrise.
Numéros de page :
pp.56-57

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Un alignement rare des planètes, la réconciliation entre critique et grand public, cinéphiles européens, asiatiques et américains, doublé Palme d’or-Oscar à la clé, telle fut l’aventure "Parasite", un genre de couronnement viral pré-coronavirus.
Numéros de page :
pp.52-55

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Critique du film "Okja" de Bong Joon Ho
Numéros de page :
pp.28-29

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Date parution pério
2019-10-01
Avec son film "Parasite", qui a remporté la Palme d’or au Festival de Cannes en 2019, le cinéaste sud-coréen Bong Joon-ho nous raconte l’histoire de deux familles diamétralement opposées que seul le hasard a rapprochées.
Numéros de page :
pp.12-14