Les musées français font de plus en plus appel à des financements privés pour boucler leurs budgets ou organiser des expositions, dans un contexte de baisse de la dépense publique. Ce mécénat des entreprises conduit parfois à une privatisation partielle des musées qui en bénéficient ; certains mécènes disposent même d'un droit de regard sur la programmation des musées partenaires. Ces entreprises jouent aussi une partie de leur image en s'associant à tel ou tel action culturelle.

Analyse des nouvelles règles de l'identité visuelle dans l'univers digital. Si la communication numérique n'a pas réellement bouleversé les identités visuelles, une chose change toutefois : l'identité visuelle doit pouvoir se décliner au travers de médias et vecteurs multiples et très différents, sur le web et sur le print. Les marques doivent également retrouver leur image ultra-lisse et maîtrisée du danger, du fait de la multiplicité des axes d'échange online avec le client. Toutefois, derrière la crainte de déplaire, les marques ne doivent pas rester figées.

Retour à la hausse en France, en 2016, pour la première fois depuis 2008, du nombre d'entreprises mécènes. Elles seraient aujourd'hui 170 000. Ce type de solidarité séduit de plus en plus les PME qui sont bien conscientes du retour sur investissement : des collaborateurs pratiquant le mécénat de compétence plus motivés et efficaces, la constitution de nouveaux réseaux avec des acteurs locaux et des bénéfices en matière de communication interne et externe. Revue de détails des bonnes pratiques d'une politique de mécénat efficace.

Le phénomène de relocalisation industrielle s'intensifie en France, depuis le début des années 2010. Qu'elles soient déçues par les performances de leurs sous-traitants étrangers, ou qu'elles le fassent pour des raisons logistiques ou de coûts, ou suite à une prise de conscience éthique, les entreprises françaises sont nombreuses à saisir tout l'intérêt de produire sur leur territoire.

Le design comme l'aménagement des lieux dit beaucoup de la culture d'une entreprise. Et de ce qu'elle veut donner à voir. Cette semaine, visite de la maison de mode Céline. Fin 2014, elle s'est installée à "Vivienne", un hôtel particulier parisien. Cet écrin historique permet à la marque française de se réinventer des racines.

Le choix d'un lieu comme son aménagement disent beaucoup de la culture d'une entreprise. Et ce qu'elle veut donner à voir. Le site Vente-privée.com a inauguré son sixième immeuble, à Saint-Denis, en banlieue parisienne. Sa façade, habillée d'une résille en béton surplombée du logo rose de la société, lui donne un aspect novateur et iconoclaste, à l'image de son patron.

L'instantanéité du Web a son revers. Une image peut se ternir en peu de temps. Les réponses juridiques, amiables ou pas, existent. La surveillance de son image s'impose

Analyse, en avril 2012, de l'importance pour les entreprises françaises de soigner leur réputation sur Internet (e-réputation), et du développement croissant de certaines pratiques en la matière : renforcer les éléments positifs, étouffer, voire gommer les éléments négatifs, anticiper. Des pratiques qui s'appuient désormais sur des méthodes, des outils, des compétences, afin de promouvoir sa notoriété sur la Toile et placer l'internaute au coeur de la démarche.

Les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à prendre conscience de l'importance de valoriser leurs archives. Audit, sélection, traitement : toute une méthodologie est à suivre. La première étape, indispensable, consiste à se doter d'outils qui permettront de maîtriser aussi précisément que possible le contenu des archives. Ensuite, place à la valorisation elle-même qui peut prendre de multiples formes, entre opérations de communication interne ou externe, de marketing, manifestations culturelles diverses...

Pouvoir tirer immédiatement parti de milliers de données en mettant en évidence les informations essentielles, et répondre rapidement à ses clients et conforter ainsi l'image d'une entreprise, c'est ce qu'il est possible de faire aujourd'hui.

Les polémiques réputationnelles à composante digitale, aux conséquences parfois lourdes, affectent tout type d'organisation. Mais ces événements ne sont pas forcément imprévisibles et ont des schémas de causalité qu'une veille bien conduite contribue à comprendre et anticiper. Pour les entreprises, c'est un enjeu stratégique pour la protection de leur réputation.

Valoriser son patrimoine informationnel en le rendant accessible à un large public, telle est la politique volontariste menée par la SNCF depuis plusieurs années. Guillaume Leborgne, directeur du programme Transparence et de l'Open data de cette entreprise publique, nous présente ce projet et ses réalisations.