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Marketing stratégique

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Auteurs
Représentante du plaisir alimentaire, privilégié par 88 % des Français, l'épicerie sucrée ne peut plus pour autant négliger les problématiques sanitaires et environnementales en 2019. Les consommateurs deviennent en effet de plus en plus attentifs à ce qu'ils mangent et les fabricants doivent revoir la composition de leurs produits et penser "responsable" pour continuer d'attirer les acheteurs. La communication autour des initiatives sociales et environnementales se multiplie afin de se démarquer de la concurrence et de mettre en avant les efforts réalisés.
Numéros de page :
pp.44-54

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Les soins du visage n'arrivent pas renouer avec la croissance en France. En 2018, les soins du visage femmes reculent encore de 2,4 % à 271 millions d'euros, tandis que les produits de toilette régressent de 3,8 % à 201,4 millions d'euros. Les soins antibactériens, +14 % à 26,8 millions d'euros, et les soins pour hommes, +3 % à 29,6 millions d'euros, se portent bien, mais ne représentent qu'une petite marché du rayon global. Afin de se relancer et de toucher à nouveau les consommatrices, les marques visent notamment un public jeune, particulièrement les millennials et la génération Z.
Numéros de page :
pp.64, 66

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Le doute n'est plus permis, le commerce est en pleine mutation en 2019. Sous l'impact du digital, il se transforme afin de répondre aux nouvelles pratiques et attentes des consommateurs. Les repères historiques sont mis à mal par les nouvelles habitudes de consommation et les évolutions des désirs des clients. La défiance de ces derniers envers la grande distribution et leur propension à se tourner vers l'achat en ligne rebattent les cartes.
Numéros de page :
pp.8-11

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Malgré leurs investissements dans la recherche et le développement, les marques de produits d'entretien peinent à trouver des innovations marquantes depuis quelques années. En 2019, le marché français est porté par les nouvelles formules bio ou naturelles, mais aucun produit de rupture ne semble vouloir faire son apparition. L'offre écologique, en progression de 6,5 %, permet toutefois au marché de continuer à être en croissance sur l'année 2018, +2,3 % à 6,46 milliards d'euros.
Numéros de page :
pp.32-34, 36, 38

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Les produits de douche subissent, comme l'ensemble du rayon hygiène-beauté, la défiance des consommateurs en 2019. Ils arrivent malgré tout à limiter leur recul, puisque le segment a fini 2018 à +0,8 % en valeur, à 614,31 millions d'euros, et -1,3 % en volume, à 223,21 millions d'unités vendues. Les marques misent sur des produits naturels, avec une liste d'ingrédients réduite, pour continuer à conquérir le consommateur. Les gels douche bio gagnent également du terrain sous l'impulsion de grandes marques telles L'Oréal, ou de spécialistes comme L'Arbre Vert ou So'Bio étic. Des détails.
Numéros de page :
pp.44-45

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Sur un marché français du jouet en recul de 5 % en 2018, les distributeurs doivent trouver de nouveaux concepts pour faire revenir les clients en magasin.
Numéros de page :
pp.24-27

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La pâtisserie industrielle a stagné en 2018, +0,7 % en valeur à 2,4 milliards d'euros de CA, et -1,5 % en volume. Le marché est frappé par la déconsommation générale et prend conscience qu'il doit s'adapter aux nouvelles exigences des consommateurs. Ainsi, les produits bio s'imposent de plus en plus comme porteurs et des références vegans font aussi leur apparition. L'utilisation d'ingrédients locaux est également davantage mise en avant. L'aspect plaisir, principal moteur d'achat, n'est pas non plus oublié et plusieurs recettes inédites optent pour plus de moelleux ou de gourmandise.
Numéros de page :
pp.38-39

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Les produits de rasage prennent le pas sur ceux d'épilation auprès des femmes françaises en 2019. Les premiers s'affichent à +1,6 % en valeur, à 67,86 millions d'euros, et +0,4 % en volume, tandis que les seconds régressent de -5,9 % en valeur, à 96,75 millions d'euros, et -3,4 % en volume. Les consommatrices préfèrent le côté plus pratique du rasage et cela profite aux marques comme Wilkinson ou Gillette, qui étoffent leurs gammes et améliorent leurs rasoirs afin de s'inscrire dans le segment du bien-être.
Numéros de page :
pp.40-41

Article

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L'hôtellerie de luxe a trouvé un nouveau moyen pour attirer les clients et tenter de se différencier de la concurrence en 2019 : ouvrir les portes de ses cuisines à ses clients. Les cours de gastronomie ont la cote dans les établissements de luxe, d'autant plus quand le chef qui officie à l'hôtel est connu. Le concept, déjà très développé en Asie, n'est pas non plus totalement nouveau en France puisque le réseau Relais & Châteaux s'en est emparé depuis une dizaine d'années.
Numéros de page :
pp.22-23

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L'offensive de la filiale de Teyliom doit se concrétiser dans les douze mois. En finançant sur fonds propres son expansion et en visant toutes les gammes, elle tente un pari audacieux.
Numéros de page :
pp.52-53

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Recrutement de journalistes venus de la presse mode, master class, aide technique... Les réseaux sociaux comme Instagramm, YouTube ou Snapchat font des appels du pied au monde du luxe. En retour, celui-ci s'engouffre dans la brèche, attiré par la force de frappe et les audiences des GAFA. Cette nouvelle donne bouleverse la façon dont les marques vendent et communiquent. Mais interroge aussi la protection des données personnelles. Un mariage de raison maquillé en passion.
Numéros de page :
pp.73-77

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Chaque année, 3 milliards de coupons de réduction sont émis par les distributeurs et industriels sur le territoire français, et 350 millions sont utilisés par les consommateurs. En 2019, avec le passage de la loi Egalim sur la régulation des promotions, ces coupons prennent une nouvelle valeur et deviennent un moyen encore plus intéressant pour fidéliser les clients et continuent à leur proposer des prix attractifs. A peine trois mois après le début de l'application de la loi, le nombre de bons référencés avait déjà progressé de 15 %.
Numéros de page :
pp.6-9