Depuis son accession au pouvoir, le Premier ministre britannique joue le « hard brexiter », décidé à sortir son pays de l'UE dans moins de trois mois, quelles que soient les circonstances. A Londres. tout semble possible. Mais le « bluff » est un mot d'origine anglaise. Sommaire. Boris Johnson, le ''bad boy'' de l'Europe. "Les chiffres ne l'intéressent pas : il ne les croit pas". L'Europe face à "BoJo".

A Londres, le probable successeur de Theresa May souffre d'une réputation épouvantable. Mais il est plus complexe qu'on ne le dit...

Bousculée par Londres, qui l'entraîne hors de l'UE contre sa volonté, l'enclave britannique est aussi malmenée par Madrid, qui prétend peser sur son avenir à l'issue du Brexit.

Les circonstances de la mort du dissident, Prix Nobel de la paix, pèseront longtemps sur les dirigeants de Pékin.

L'Express vous invite à la découverte de ces femmes de pouvoir qui, en Asie, font trembler leurs homologues masculins et, parfois, la population. Ayez pitié des premières dames, leur rôle est souvent compliqué... Jackie Kennedy, Carla Bruni-Sarkozy ou encore Michelle Obama ont joué de l'intérêt insatiable des médias pour mettre en scène leur garde-robe et soutenir "leurs" créateurs de mode. A elle seule, l'épouse de Barack Obama aurait contribué à relancer J.Crew, une marque américaine de prêt-à-porter, et à propulser les ventes des robes haut de gamme de Jason Wu.

Pacifiste et issu de la « gauche archéo », le leader de l'opposition au Royaume-Uni a mis en échec les conservateurs lors des législatives du 8 juin 2017. Face à Theresa May, il paraît soudain « Premier ministrable». Incredible !

Le long de la frontière avec la Serbie, la Hongrie a construit un "mur antimigrants". Deux ans plus tard, le gouvernement nationaliste et populiste de Viktor Orban demeure sourd aux critiques.

Depuis les manifestations sanglantes de Charlottesville, à la mi-août 2017, le président américain ménage les champions autoproclamés de la race blanche. Qui se sentent pousser des ailes...

Sept mois après son investiture, le président des Etats-Unis multiplie initiatives hasardeuses et déclarations va-t-en-guerre, au point de surprendre ses conseillers. Jusqu'où ira-t-il ? Sommaire. Un mandat au point mort. Seul avec son clan. Les "trumperies" de Donald. Un intrus dans le bureau Ovale. Le mâle dominant. Robert Mercer, l'homme de l'ombre (entretien).

Englué dans l'enquête sur les liens troubles entre la Russie et des membres de son équipe de campagne, le président américain semble attendre son heure pour riposter.

Dans le nord-est de l'Angleterre, ce bastion favorable à la sortie de l'Union européenne cultive le souvenir de sa grandeur passée, imperméable aux réalités du présent. Pour le moment...

A Singapour, le président américain a multiplié les flatteries en direction du leader de la Corée du Nord. De quoi donner des idées à d'autres parias.

Vous ne comprenez plus rien au divorce annoncé entre Londres et Bruxelles ? Pas de panique, "L'Express" vous guide...

A trois mois des élections au Congrès, les habitants de cet Etat du Midwest touché par la guerre commerciale restent acquis aux républicains. Pour le moment...

Dans la ville où son destin s'est dessiné un projet de "centre présidentiel" suscite la défiance parmi les sympathisants de l'ex-chef d'Etat.

Ils sont quatre ambassadeurs européens à Paris : Veronika Wand-Danielsson (Suède), Aghi Balta (Grèce), Pieter de Gooijer (Pays-Bas) et Luca Niculescu (Roumanie). Réunis par "L'Express", ils débattent du populisme et de l'avenir de l'Union.