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Nous avons trouvé 23 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

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« Il faut qu'une symphonie soit comme le monde, elle doit tout inclure », dit un jour Gustav Mahler à Sibelius. Entre insondable désespoir et humour féroce, son oeuvre nous parle d'amour, de mort, d'angoisse existentielle ou de perspective de rédemption. Si, après sa mort, l'oeuvre de Mahler traversa un long purgatoire, elle n'en eut pas moins une influence profonde sur la création musicale durant le XXe siècle, et aujourd'hui encore. Sommaire. La tragédie humaine. Malher... et après.
Numéros de page :
pp.24-38

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Patrick Szersnovicz remet dans son contexte la genese de la "Symphonie no " composée par Brahms en 1885 à l'aide du contexte historique, d'une analyse de l'oeuvre et d'une discographie comparée.
Numéros de page :
pp.42-45

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Reconnu internationalement comme pianiste et compositeur (il rentre de tournées en Allemagne et aux Etats-Unis), Bartok travaille durant l'été 1928 à son Quatuor n° 4. L'oeuvre prolonge l'atmosphère tendue et onirique du n° 3 (1927), dont elle diffère, non par le langage, toujours violemment dissonant, mais dans la forme et le message expressif. Contre son habitude, le musicien hongrois entame l'écriture de ce nouveau quatuor sans avoir pu éprouver à l'audition le précédent.
Numéros de page :
pp.34-37

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Au printemps 1937 naît une grande amitié entre deux musiciens bien différents, George Gershwin et Arnold Schonberg. Passionnés du même sport, ils se rencontrent au Tennis Court de Hollywood, où Gershwin déclare un jour, après une partie acharnée, vouloir écrire quelque chose de tout à fait simple, un quatuor à cordes dans le genre Mozart. Schonberg, contrarié, lui fait observer que les quatuors de Mozart ne sont nullement simples !
Numéros de page :
pp.40-43

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Un siècle plus tard, Arnold Schönberg dérange toujours. C'est que le combat héroïque de sa vie a bouleversé, non seulement l'histoire de la musique, mais le rôle de l'artiste et l'art en général. Art et combat d'une réelle... beauté. Mais oui, vous allez voir.
Numéros de page :
pp.32-41

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Afin d'illustrer le volet musical du mouvement artistique de l'expressionnisme (début du XXe siècle), Patrick Szersnovicz a concocté une discographie haute en couleur.
Numéros de page :
pp.50-51

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C'est un double événement littéraire qui éclaire d'un jour nouveau la vie et la personnalité d'un des plus grands chefs d'orchestre du XXe siècle. Les mémoires de Fritz Busch, qui s'achèvent sur l'année de son départ d'Allemagne en 1933, paraissent enfin en traduction française. Dans un second volume, Fabian Gastellier s'est quant à elle employée à retracer la carrière du musicien pendant son exil, jusqu'à sa mort en 1951. Au fil de ces deux ouvrages, tout un pan de notre histoire musicale refait surface, à travers les soubresauts politiques qui ébranlèrent le monde.
Numéros de page :
pp.48-51

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"On aurait dit un cratère de volcan artistiquement caché par des bouquets de fleurs" (Baudelaire sur Delacroix). L'image s'applique idéalement aux "Trois pièces pour orchestre op. 6", première et unique oeuvre purement orchestrale d'Alban Berg, et son excursion la plus audacieuse en direction du chaos. Après avoir envisagé une symphonie en 1912, puis une Suite de pièces de caractère, il entame la composition au retour d'une visite orageuse chez Schonberg à Berlin, en juin 1913.
Numéros de page :
pp.46-49

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« Il travaille dans le délire de sa joie et dans la joie de son délire », rapporte un de ses amis lorsque Beethoven, en pleine euphorie créatrice, compose son Quatuor à cordes n° 12 en mi bémol majeur. Esquissé en 1823, achevé en octobre 1824, dédié au prince russe Nicolas Galitzine, cet Opus 127 est créé à Vienne le 6 mars 1825 par le Quatuor Schuppanzigh. C'est un échec, renouvelé lors de la deuxième audition donnée par le Quatuor Böhm. « Il faut l'entendre souvent » dit Beethoven.
Numéros de page :
pp.44-47

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Janacek, Sibelius, Szymanowski ou Chostakovitch ont fini par briser les barrières nationales. Mais pour le britannique Vaughan Williams, hors du monde anglo-saxon, point de salut. Ce maître absolu de la symphonie, qui s'est par ailleurs exprimé dans les genres les plus divers, trouvera-t-il enfin sa place dans le panthéon des génies du XXe siècle ? Soixante ans après sa disparition, il est grand temps...
Numéros de page :
pp.28-35

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Bulletin : Diapason 724
Date parution pério
2023-07-01
C'est en 1930, à l'initiative de Willy Strecker, directeur des éditions Schott, qu'Igor Stravinsky fait la connaissance du violoniste Samuel Dushkin et décide de lui écrire un concerto. Un jour de l'hiver 1930-1931, lors d'un déjeuner à Paris, le compositeur griffonne au dos de la carte du restaurant un accord de trois notes, ré-mi-la, avec une périlleuse extension entre le mi et le la suraigu.
Numéros de page :
pp.40-43

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Date parution pério
2024-01-01
Dédié à la mémoire d’Ernest Sussman, amateur d’art et ami personnel d’Henri Dutilleux, "Ainsi la nuit" pour quatuor à cordes est composé entre 1971 et 1977 pour honorer une commande de la Fondation Koussevitzki. Il a pour destinataires les Juilliard, qui en assurent la première audition américaine à Washington le 13 avril 1978. Mais il est créé par les Parrenin le 6 janvier 1977 au Théâtre de l’Est parisien, dans le cadre de la saison de concerts de l’Ensemble 2e2m.
Numéros de page :
pp.42-45

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Date parution pério
2023-10-01
Deux violons, un alto et un violoncelle : forme dialectique de la musique instrumentale par excellence, le quatuor à cordes était un genre fait pour Beethoven. Les seize opus qui lui a dédiés soumettent l'auditeur au vertige d'une création sans cesse renouvelée, chef-d'oeuvre d'invention dans l'écriture et de diversité dans l'expression.
Numéros de page :
pp.26-34

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Bulletin : Diapason 716
Date parution pério
2022-11-01
Esquissée en même temps que sa précédente sonate pour piano ("Opus 109"), contemporaine du "Sanctus" et du "Benedictus de la Missa solemnis", la Sonate "op. 110" est achevée le 25 décembre 1821. Elle est publiée l'année suivante, sans dédicace, mais Beethoven précise dans un billet du 18 février 1822 à Schindler qu'il souhaite la dédier à Antonia von Brentano, ce dont l'éditeur Schlesinger ne tiendra pas compte.
Numéros de page :
pp.34-37

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Bulletin : Diapason 713
Deuxième des trois quatuors à cordes dédiés au comte Andreï Kirillovitch Razoumovsky, ambassadeur de Russie à Vienne et protecteur de Beethoven, l'"Opus 59 n° 2 en mi mineur" est esquissé dès 1804, composé pour l'essentiel durant l'été 1806 et créé à Vienne en janvier 1809 par le Quatuor Schuppanzigh.
Numéros de page :
pp.40-43

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Bulletin : Diapason 710
Composé entre le 15 août et le 8 octobre 1943 puis créé au Carnegie Hall de New York le 1er décembre 1944 par son commanditaire, Serge Koussevitzki. à la tête du Boston Symphony Orchestra, le "Concerto pour orchestre" est la première des quatre paritions que Bela Bartok va produire sur le sol américain.
Numéros de page :
pp.38-41

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"Une musique encore plus musique", c'est la quête de Schumann lorsqu'il ouvre, en 1842, un nouveau chapitre de son répertoire.
Numéros de page :
pp.40-43

Article

Auteurs
En 1848, Robert Schumann créée "Manfred", mélodrame pour voix parlée, choeur et orchestre d'après le poème de Byron. En janvier 2019, "Diapason" en fait son oeuvre du mois et propose de revenir sur l'histoire de cette composition et son interprétation à travers une discographie comparée.
Numéros de page :
pp.40-43

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Bulletin : Diapason 702
"Cette symphonie témoigne d'une volonté énergique, d'une pensée musicale logique, d'une grandeur de facultés architectoniques et d'une maîtrise technique telles que n'en possède aucun autre compositeur vivant ", relève le critique Eduard Hanslick après la première viennoise. Esquissée dès l'époque du Concerto pour piano n. 1 (1854-1858), la "Symphonie n. 1 en ut mineur" est achevée durant l'été 1876 lors d'un long séjour dans l'île de Rügen, en mer Baltique.
Numéros de page :
pp.42-46

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Des Ballets russes au "Requiem" testamentaire, un demi-siècle de partitions imprévisibles. Que répondre à la folie orchestrale du Sacre? La folle nudité du Soldat. Comment sauver les âmes du "Rake's" Progress? En épurant les derniers cantiques. Oeuvre protéiforme composée en Russie, en France, en Suisse, en Italie ou aux Etats-Unis, nous n'en aurons jamais fait le tour, un demi-siècle jour pour jour après la mort du compositeur. Pourtant soyons fous à notre tour : pas à pas, essayons!
Numéros de page :
pp.14-25

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Bulletin : Diapason 704
Composé durant l'été 1899 et inspiré d'un poème de Richard Dehmel, le sextuor à cordes "Verkliirte Nacht op. 4" est créé à Vienne le 18 mars 1902 par le Quatuor Rosé augmenté d'un altiste et d'un violoncelliste de l'Orchestre philharmonique. Malgré l'accueil houleux du public, cette première grande oeuvre de Schönberg deviendra une de ses plus célèbres et sans doute sa plus universellement aimée.
Numéros de page :
pp.48-51

Article

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Date parution pério
2023-03-01
D'après le souvenir de Constance, qu'il n'y a aucune raison de mettre en doute, c'est dans la nuit du 17 au 18 juin 1783, alors qu'elle accouchait de leur premier enfant, que Mozart écrivit le deuxième de ses "Six quatuors dédiés à Haydn op. 10". Mais Mozart ne l'a certainement pas élaborée en une nuit. Il l'a mûri en lui de longs mois, avant de le jeter sur le papier en quelques heures.
Numéros de page :
pp.36-39

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Auteurs
Date parution pério
2024-10-01
Esquissé dès 1823, achevé en août 1825, deuxième des trois quatuors commandés par le prince russe Nicolas Galitzine, le "Quatuor n° 15" en la mineur op. 132 est créé le 9 septembre 1825 à Vienne par le Quatuor Schuppanzigh. Il connaît un succès tel qu'il doit être rejoué quelques jours plus tard. "On voit maintenant mieux comment tu vas toujours de l'avant [...] On s'émerveille de ce que tu aies tant fait avec ce peu de notes qui t'était permis dans le mode lydien", rapporte à Beethoven son neveu Karl, se faisant l'écho du triomphe public.
Numéros de page :
pp.40-43