La production d'information se double d'une production de métadonnées techniques et descriptives. Elles revêtent une importance particulière dans un contexte de records management, mais leur application est délicate.

Principaux enseignements de l'enquête annuelle sur le sujet de la gourvernance documentaire menée en France, au printemps 2014, qui révèle une progression de 11 % de la préoccupation de gouvernance entre les années 2012 et 2014. Deux tiers des répondants de cette troisième édition plébiscitent ce qu'il convient d'appeler plutôt gouvernance de l'information. Après un lent démarrage, les programmes s'accélèrent depuis deux ans, alors qu'une mise en oeuvre est effective ou prévue dans 61 % des organisations sondées.

Du fait de la dissociation entre l'information et son support, la question des infrastructures de stockage reste définitivement une problématique majeure. Est-ce une bonne approche ?

Panorama des initiatives francophones (c'est-à-dire en France comme dans le monde francophone), qui visent à faire évoluer les métiers de bibliothécaires, archivistes, documentalistes, veilleurs et gestionnaires de l'information, en vue d'une montée en compétences. Bibliothèques numériques, réalité augmentée, intelligence artificielle, chantiers de dématérialisation... Les projets documentaires en tout genre se multiplient et promeuvent les métiers du document dans tous les pays de la francophonie.

Les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à prendre conscience de l'importance de valoriser leurs archives. Audit, sélection, traitement : toute une méthodologie est à suivre. La première étape, indispensable, consiste à se doter d'outils qui permettront de maîtriser aussi précisément que possible le contenu des archives. Ensuite, place à la valorisation elle-même qui peut prendre de multiples formes, entre opérations de communication interne ou externe, de marketing, manifestations culturelles diverses...

Plages horaires de déconnexion, sevrage progressif, filtres, redéfinition d'un corpus de veille, outils dédiés à l'efficacité... Découvrez quelques astuces pour résister à l'infobésité et mettre en place une diététique informationnelle.

Comment mettre l'art de gouverner l'information au service du développement durable ? Après avoir clarifié le concept, une illustration est donnée à partir de l'exemple des « e-cleaning-days » de la société Orange.

Les réseaux sociaux sont devenus une source d'information essentielle. Il est capital pour les professionnels de la veille et du traitement de l'information de s'y intéresser et d'en de connaître les points forts et les limites.

En dépit de l'existence de Google et autres moteurs de recherche, des services questions/réponses se maintiennent, prouvant la valeur ajoutée apportée par les professionnels de l'information.

Organiser les process en matière de gestion et de diffusion de la production scientifique et pédagogique de leurs institutions est une nouvelle orientation des bibliothèques. Cette réponse aux nouvelles attentes de leur public mobilise des compétences enrichies et variées et implique une collaboration renforcée avec de nombreux partenaires.

Le dirigeant de grande entreprise utilise les réseaux d'information que lui offre son organisation. Mais, confronté à une massive « infobésité », il laisse ces sources d'acquisition et de traitement de l'information mener la barque qui conduit à la décision.

La qualité, levier du changement, est un principe qui s'applique à tous les domaines, y compris celui de la gestion de l'information. Mais quel changement ? Les professionnels savent que travailler avec des standards et des normes permet de proposer un langage clair, consensuel et opérationnel à l'organisation dans laquelle on évolue. La mise en oeuvre de stratégies transparentes ayant pour but de produire des services visant la satisfaction des parties intéressées sera portée par la démarche qualité.