Candidat à l'élection présidentielle soucieux de défendre la justice sociale, le chef de l'Etat est aujourd'hui accusé par une partie des Français de favoriser les inégalités économiques et sociales. Plus qu'un paradoxe, ces accusations révèlent deux visions divergentes de la lutte contre les inégalités.

Le monde est en pleine mutation et l'épanouissement au travail fait partie de la nouvelle donne. De plus en plus d'entreprises se libèrent des vieux modèles du business à la hiérarchie lourde et verticale pour valoriser bien-être, autonomie et intelligence collective. Des indépendants qu'on appelle "slasheurs" choisissent de vivre de leurs passions au pluriel. Des femmes et des hommes réussissentà réformer les codes par un souffle nouveau où chacun est invité à prendre son bonheur professionnel en main.

Le risque de pauvreté est particulèrement élevé pour les familles monoparentales.

Après le succès planétaire de son précédent ouvrage Le Capital au XXI siècle, l'économiste français revient sur la scène éditoriale avec Capital et idéologie, dans lequel il décrypte les discours idéologiques qui justifient les inégalités. L'occasion de proposer un programme pour dépasser le capitalisme.