Donald Trump veut-il vraiment aller à l'affrontement militaire avec l'Iran ? Il n'y a, en fait, pas intérêt. D'autant que la République islamique dispose d'un sérieux pouvoir de nuisance grâce à ses nombreux relais à travers le Moyen-Orient qui pourraient se mettre en mouvement. Quand ils ne le sont pas déjà...

Pour le président américain, l'arme économique est devenue un outil au service de l'"America first" : droits de douane, sanctions financières, quotas d'importations... pas de diplomatie qui tienne, personne n'est à l'abri. Sommaire. Les guerres de Trump. Trump, le dynamiteur. Europe-Etats-Unis : les négociations au point mort. Hold-up à l'américaine. "Trump est réticent à pousser la confrontation plus loin".

Imprévisible, Trump ? Certainement. Stratège aussi. C'est ce qui explique pourquoi, après la tuerie d'El Paso, il a condamné le suprémacisme blanc. Et pourquoi il a décidé de s'en prendre à des élues démocrates.

En faisant part de son intérêt pour ce territoire autonome rattaché au Danemark, le président américain a été applaudi par certains mais décrié par d’autres comme réveillant des appétits coloniaux qu’on croyait appartenir à un autre temps.

Une rencontre entre les présidents américain et iranien pourrait-elle avoir lieu, alors que les faucons de la Maison-Blanche, les ultraconservateurs de Téhéran, Israël et les monarchies arabes feront tout pour l’en empêcher ?

Maintenant qu’une procédure d’impeachment est officiellement déclenchée, toute l’attention du pays va se concentrer sur le spectacle offert par le locataire de la Maison-Blanche et les véritables problèmes des Américains risquent de passer au second plan. Sommaire. Trump ou le grand cirque de la destitution. Colère noire dans le Bureau ovale. Vu d'Ukraine : un pays réduit au rang de république bananière.

En annonçant le 6 octobre 2019 le retrait des troupes américaines de Syrie, Donald Trump a donné son feu vert à une offensive turque contre les Kurdes du nord de la Syrie. Ceux-là mêmes, souligne le "New York Times", qui luttent contre Daech.

Le président des Etats-Unis a beau tempêter, jouer les victimes et promettre une guerre civile, l’enquête qui pourrait conduire à sa destitution se poursuit, et les lanceurs d’alerte sortent du bois. En attendant le dénouement de ce qui ressemble de plus en plus à un roman noir, la presse américaine dresse le portrait des principaux protagonistes de l’affaire et expose leurs stratégies. Sommaire. Un art consommé de la victimisation. Le "deep state" se rebiffe. Fox News a le sort du pays entre ses mains. Est-ce le début d'une guerre civile ?

"Impeachment, acte l". Les démocrates ont lancé la procédure de "mise en accusation solennelle" contre Donald Trump. Le président américain aurait suggéré à son homologue ukrainien de lancer des investigations mettant en cause le fils de Joe Biden. De quoi contrarier la fin de mandat de Trump...

L’invasion turque du Kurdistan syrien a semé le chaos dans une des rares régions stables du Moyen- Orient. Au bilan humain désastreux – des dizaines de morts, une centaine de milliers de déplacés –, s’ajoute la fin du rêve d’autonomie des Kurdes, trahis par un Donald Trump indécent. Et ce ne sont pas les menaces de sanctions qui devraient infléchir le président turc, qui a su recréer l’union nationale autour de lui. Les vrais vainqueurs de cette invasion ? Bachar El-Assad, auquel les Kurdes syriens ont dû faire allégeance, et Vladimir Poutine, plus que jamais maître du Moyen-Orient.

Ils ont moins de 30 ans, adulent Donald Trump et sont prêts au combat électoral. Rencontre avec une jeunesse conservatrice dont le vote, l'année prochaine, sera déterminant.

En dépit des sentiments qu'inspirent ses phrases à l'emporte-pièce et ses tweets en rafale, le bilan objectif du président américain est contrasté. Politique intérieure. économie. diplomatie... Tour d'horizon. Sommaire. Washington sens dessus dessous. Economie : sa véritable planche de salut. Diplomatie : le règne de l'arbitraire.