Eclairage, en mars 2012, sur la stratégie de communication à mettre en oeuvre par les entreprises françaises en cas de situation de crise. Un événement qui survient toujours dans la vie d'une entreprise mais qui déstabilise totalement les dirigeants, plus ou moins habitués à prendre la parole.

Entretien, en juin 2012, avec Damien Harnist, directeur général d'Aegis media France (premier groupe de communication intégrée et première agence média en France), qui analyse l'impact du foisonnement de médias numériques sur les relations entre les entreprises de conseil médias et leurs clients. Selon lui, la révolution numérique, et notamment les réseaux sociaux et la télévision connectée, chamboule son métier de conseil à un rythme accéléré tant le champ des possibles s'élargit.

Décryptage des réactions des entreprises qui connaissent à un moment de leur histoire des périodes de crise. Si certaines choisissent de minimiser les problèmes rencontrés, d'autres font de leurs erreurs un axe de communication, et ce même bien après la période de troubles. Une stratégie qui peux s'avérer payante à condition de bien maîtriser sa communication. Si la conduite à tenir dépend bien évidemment du contexte, il n'en demeure pas moins qu'une prise de parole et l'expression d'une compassion pour le public s'imposent.

Retour de la tendance du film d'entreprise, malgré la crise qui affecte le secteur de la communication, en France. Les canaux de diffusion vidéo en interne et en externe et l'appétit du public rendent les sociétés friandes de ce média, pour servir leur image hors de leurs murs ou pour former et informer leurs collaborateurs en interne. De nouveaux acteurs, sur un modèle low-cost, viennent concurrencer les producteurs établis, qui misent sur leur réseau de professionnels et leurs prestations de conseil pour faire la différence.

Décryptage des clés de la réussite d'un programme de communication sur les réseaux sociaux, des outils du web 2.0 qui ne cessent de se multiplier. Alors que la communication des entreprises sur ces plateformes dépend beaucoup des budgets qu'elles peuvent y consacrer, certaines choisissent de se faire accompagner pour élaborer des stratégies digitales, dont elles attendent des retombées en termes de notoriété et d'image. Autre enjeu : des relations plus étroites avec leurs clients, et donc une consolidation du chiffre d'affaires.

Nécessité pour les entreprises françaises, dans le cadre de leur communication corporate ou interne, d'anticiper les réalités sociétales et de les refléter. Un double défi qui a fait l'objet de la rédaction de 11 idées clés pour l'avenir par le groupe Communication et Entreprise, un recueil de tendances mondiales identifiées à partir des travaux et analyses d'une vingtaine de penseurs. Points abordés : la fin de l'étanchéité entreprise-société ; la captation des signaux faibles ; la prise de pouvoir du récepteur.

Professionnalisation du secteur du rendez-vous d'affaires, en France. Le premier rendez-vous représente une étape cruciale de la relation commerciale qui lie les deux entreprises, et son ROI (retour sur investissement) doit être optimisé. Dans ce cadre, les entreprises ont parfois intérêt à se tourner vers des prestataires spécialisés dans la création et la gestion d'événements de rencontres d'affaires, afin de pouvoir se concentrer exclusivement sur la recherche de nouvelles affinités commerciales.

Décryptage de l'intérêt du recours à un prestataire pour leur communication par les PME françaises. Une solution qui leur permet de gagner en flexibilité, de réduire les coûts et de s'offrir les conseils des experts du marché, tout en réduisant une activité trop chronophage. Les PME représentent également un intérêt pour les prestataires, ce type d'entreprise permettant aux agences de repenser les processus et de renouveler les outils, au contact direct des dirigeants et des fondateurs.

Exercice difficile du changement de nom pour une entreprise, en France. Une décision qui découle souvent de contraintes (ennuis juridiques, rapprochement de société ou au contraire scission). Si ce changement représente des risques en termes de notoriété et de budget, il est également source d'opportunités pour remobiliser les équipes internes autour d'un projet commun, changer de méthodes managériales, ou encore rajeunir sa cible.

C'est une publicité dont ce communicant se serait bien passé. A 62 ans, Denis Pingaud pensait, avec Mathieu Gallet, avoir misé sur le jeune pur-sang qui ferait de lui un conseiller incontournable. C'était compter sans les déboires du patron de Radio France et 90 000 euros de prestations très médiatisées.

Point, en 2011, sur les réseaux sociaux d'entreprises (RSE), qui permettent de décloisonner l'information dans les organisations, mais soulèvent une série de questions touchant à l'identité même de l'entreprise. La résistance au changement constitue le principal écueil à l'installation d'un RSE. Le RSE nécessite une remise à plat du système d'information et le développement de nouvelles pratiques documentaires.

Bilan, 3 ans après sa mise en place, du programme "Well being at work", lancé en février 2011 par la SSII française Atos, afin de supprimer l'envoi de mails au sein de l'entreprise. Les courriels internes ont été remplacés par de nombreux outils, telle qu'une messagerie instantanée afin de planifier les réunions en ligne, le réseau social d'entreprise BlueKiwi, et un logiciel de partage des documents. Une conduite au changement a été mise en place afin d'accompagner les salariés. Les mails à destination de l'extérieur de la société sont quant à eux toujours en vigueur.