Si les compotes en coupelles continuent de reculer, -6,2 %, les gourdes et les bocaux permettent au marché français des compotes de garder la tête hors de l'eau en 2019, à +0,7 % et 527 millions d'euros de valeur. Au sein d'un secteur mature, les fabricants tentent de se démarquer en offrant des compotes toujours plus naturelles. En plus du bio, toujours en pleine croissance à 17,5 %, des efforts supplémentaires sont réalisés sur la traçabilité des fruits utilisés. La transparence est de mise auprès des clients, de même que le sans pesticides ou le sans sucres.

Alors que la concurrence s'exacerbe, la firme d'Atlanta poursuit sa diversification dans l'eau, les jus et les yaourts à boire, après avoir finalisé l'acquisition du groupe nigérian CHI en début d'année 2019.

Ces discrets entrepreneurs ont ravi au nez et à la barbe d'acteurs puissants le numéro 1 français des surgelés. Rencontre avec ces nouveaux rois de la distribution.

A l'automne 2019, soit un an après l'adoption de la loi Egalim, des avancées ont eu lieu dans la filière laitière pour revaloriser le prix du lait, mais les industriels attendent encore des gestes concrets de la grande distribution, notamment pour les marques de distributeurs (MDD). C'est surtout la guerre des prix entre les enseignes qui est dénoncée. "Il faut que l'état d'esprit change", affirme Dominique Chargé, président de Coop de France. Etat des lieu. Quelques données chiffrées.

Début novembre 2018, l'enseigne française Etam a ouvert, au coeur du boulevard Haussmann à Paris, son son premier flagship avec ses produits de lingerie féminine. Ce nouveau magasin regorge de services digitaux innovants qui viennent raccourcir le temps de passage en caisse ou optimiser la gestion des tailles en cabine. Parmi les technologies qui équipent la boutique : paiement mobile, click and collect, tags RFID, écrans à leds, etc. Détails. Pas de chiffres.

Estimé par Iri à plus de 7 milliards d'euros, le marché français de l'apéritif tend à se valoriser, enregistrant une croissance de 1,2 % en valeur, en cumul annuel mobile à septembre 2019, dans les circuits de la grande distribution. Tous les rayons profitent de l'engouement général. Le frais enregistre une croissance de 8,2%, tandis que l'épicerie salée se valorise à +3,4%. Du côté des boissons, la tendance au Spritz se poursuit et le sans alcool progresse.

Le marché de la lingerie féminine est à la peine. Les ventes (hors articles de nuit) ont reculé de 4,8% en valeur, à 1,78 milliard d'euros en 2018, selon Kantar. En volume, la baisse se porte à 2,5%. Le marché souffre de la crise textile qui s'opère depuis 2008. Pour séduire les consommatrices, les marques jouent la cartes du confort en misant sur un discours hédoniste. Elles s'engagent également dans des démarches écoresponsables qui, elles aussi, ont le vent en poupe.

Au Japon, l’effondrement du marché mondial de l’automobile met en péril le dense réseau de fournisseurs, au bord de la faillite.

Inventée en 1935 et vendue dans le monde entier, l’Hermès Baby a été la star des machines portatives, chérie des écrivains nomades et des reporters. En Suisse, une exposition lui rend hommage.

Pneus crevés, vols ou bagarres, dans les montagnes des Apennins, tous les coups sont permis pour s’approprier les précieux cèpes. Un enjeu plus économique que culinaire.

La Colombie est l’un des premiers pays producteurs mondiaux de petites baies rouges. Même si l’année 2020 semble exceptionnelle, le secteur reste soumis aux aléas des marchés.

L'un des emblèmes alimentaires de notre civilisation est devenu en quelques décennies le symbole de la malbouffe globalisée.