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Livraison de marchandises

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Bulletin : LSA 2683
Deux types d'acteurs prennent position sur le marché français du quick commerce : d'une part, les start-up spécialisées telles que Gorillas, Getir, Cajoo ou encore Gopuff ; et d'autre part, des acteurs plus ou moins jeunes qui se sont diversifiés vers ce segment comme Frichti, La Belle Vie, Franprix ou Yango Deli. Si la première catégorie est en pleine expansion, la seconde, plus prudente, mise sur des synergies avec les activités historiques.
Numéros de page :
pp.16-17

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Bulletin : LSA 2684
La numérisation du commerce est loin d'être achevée comme en témoigne les fonds levés par les start-up du secteur du e-commerce, de la livraison et de la logistique, de la food tech, et des sociétés oeuvrant dans les domaines du marketing, du paiement et des données en 2021. Elles ont réalisé 146 levées de fonds et plus de 3,3 milliards d'euros ont été investis en capital-risque, soit 28% des 11,6 mds EUR levés par tout l'écosystème des start-up français d'après les estimations du cabinet EY.
Numéros de page :
pp.6-9

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Bulletin : LSA 2685
Début 2022, la start-up allemande de livraison de courses à domicile Gorillas est entrée en négociations exclusives avec sa rivale française Frichti en vue de l'acquérir. Depuis sa création en 2020, Gorillas s'est développé très rapidement dans huit pays d'Europe, a levé 1,3 milliard de dollars, et a atteint le statut de licorne d'envergure européenne. L'opération constituerait un très gros acteur, et le leader, dans le secteur du quick commerce en France. Ce marché, encore jeune, compte une dizaine d'acteurs en France et commence déjà sa consolidation. Explications et détails.
Numéros de page :
pp.12-14

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Bulletin : LSA 2685
Créé en 2015, l'e-commerçant néerlandais Picnic, positionné sur le créneau de la livraison de produits alimentaires s'attend à atteindre le milliard d'euros de CA en 2021. Un montant semblable à celui levé auprès d'investisseurs (995 millions d'euros, dont 600 M EUR en septembre 2021) pour poursuivre son développement dans son pays natal, ainsi qu'en Allemagne et en France.
Numéros de page :
pp.20-23

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Bulletin : LSA 2686
Pour gagner des parts de marché en France, les jeunes acteurs du quick commerce (livraison à domicile en quelques minutes) misent tous sur la publicité. L'objectif est de faire connaître leur marque et de créer la préférence auprès des consommateurs. Les levées de fonds sont en partie employées à cet effet, avec pour finalité de créer un nouvel usage. La bataille se joue dans la rue (publicité extérieur) et sur les réseaux sociaux. Explications avec des exemples. Données chiffrées : les dépenses publicitaires des quick commerçants ont atteint 13,96 millions d'euros en 2021 d'après Kantar.
Numéros de page :
pp.14-15

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Bulletin : LSA 2687
Début 2022, les villes de Lyon et Paris sont toutes les deux engagées dans une opposition politique au quick commerce. Elles tentent d'empêcher l'implantation de dark stores, vus comme une menace pour les commerces de proximité. Elles utilisent les outils à leur disposition, dont les plans locaux d'urbanisme principalement. Mais les quick commerçants contournent les règles en déclarant leurs entrepôts comme des commerces. Une situation qui révèle un flou juridique autour de ces installations : sont-elles des entrepôts ou des commerces ? Explications et détails. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.14-15

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Bulletin : LSA 2689
Fin 2021, la Commission européenne a dévoilé un projet de directive qui pourrait bouleverser le modèle économique des applications de livraison telles que Uber Eats, Deliveroo et Glovo. Elle vise à rééquilibrer les relations entre ces plates-formes et leurs travailleurs, soit 28 millions de personnes actives en Europe. L'Union européenne veut introduire une présomption de salariat pour les livreurs et autres chauffeurs VTC.
Numéros de page :
pp.20-22

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Un peu partout en Europe, des anciens coursiers de Glovo, Deliveroo et consorts créent des coopératives de livraison. Une manière de sortir de l’isolement, de s’émanciper et d’améliorer leurs conditions de travail.
Numéros de page :
pp.38-39

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Bulletin : 01net 961
Les confinements successifs de ces derniers mois ont fait exploser la vente en ligne de produits alimentaires. Et ont mis au jour de nouvelles habitudes de consommation.
Numéros de page :
pp.42-47

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Les confinements successifs ont accéléré le développement du e-commerce, et donc la demande pour une logistique de plus en plus agile et performante. S’il est encore porté par le développement des surfaces XXL, le marché de l’immobilier logistique se concentre désormais sur la livraison du dernier kilomètre, laquelle nécessite des locaux adaptés près des centres-villes et une optimisation des flux, tout en s’efforçant de respecter les contraintes liées à l’environnement.
Numéros de page :
pp.15-16

Article

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Fin 2021, sous l'initiative de la sénatrice Laure Darcos, le Parlement français a adopté une loi, la loi Darcos, pour instaurer un prix plancher sur les frais de port. Il s'agit notamment de protéger les libraires français qui ne peuvent pas rivaliser avec de gros acteurs comme Amazon, qui proposent des frais de port très bas, généralement à un centime.
Numéros de page :
pp.45-47

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Bulletin : LSA 2697
Deliveroo, spécialiste d'origine britannique de la livraison de repas, a été condamné pour travail dissimulé le 19 avril 2022 par le tribunal de grande instance de Paris. Le procès a porté sur une période allant de mars 2015 à décembre 2017. Le tribunal estime que le lien de subordination entre Deliveroo et des centaines de livreurs est manifeste. L'entreprise a été condamnée à 375 000 euros d'amende assortis d'une publication de la condamnation sur son site internet pendant un mois. Les dirigeants ont également été condamnés par de la prison et des amendes. Deliveroo entend faire appel.
Numéros de page :
pp.16-17