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Marketing stratégique

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La moto a connu année 2018 fructueuse en France avec une croissance estimée à +8,2 % (hors 50 cm3). Les 125 cm3 ont enregistré une hausse de 15 % de leur immatriculation, les grosses cylindrées, 601 cm3 et plus, ont terminé l'exercice à +4 %. Autre segment gardant la cote, celui du vintage, qui se retrouve dans la réutilisation de formes, de design et de styles appartenant au passé mais remis au goût du jour sur de nouveaux modèles. Ce mouvement néo-rétro touche peu à peu l'ensemble des constructeurs du marché, depuis Honda jusqu'à Harley en passant par BMW.
Numéros de page :
pp.30, 32

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Bulletin : L'Express
Ils les soignent, les amadouent, les séduisent. Jamais les éditeurs et les écrivains n'auront autant fait cas de ces prescripteurs importants que sont les libraires. "L'Express" les a suivis à Paris et à Bordeaux.
Numéros de page :
pp.78-79

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Au sein d'une catégorie épicerie morose, les produits du monde se distinguent en France en 2019. Le rayon est évalué à 400 millions d'euros et 3,2 % de croissance selon Iri, avec plusieurs segments porteurs. Les produits asiatiques rencontrent ainsi le succès, +4,7 % à 168,27 millions d'euros, grâce à certains événements comme le Nouvel an chinois et les innovations venues du Japon ou de Thaïlande, appréciées des consommateurs.
Numéros de page :
pp.42-45

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Les desserts appertisés peinent à séduire le public français en 2019. L'offre est jugée trop peu lisible et manque de nouveautés. Les desserts prêts à consommer sont en recul de 5,2 % à 56,7 millions d'euros, handicapées par les déclins des riz au lait, crèmes desserts et gourdes pour enfants. Les compotes ont mieux résisté en profitant de l'envie de manger mieux des consommateurs, mais elles ne s'affichent pourtant qu'à +0,8 % et 500 millions d'euros. Les gourdes et les bocaux restent dynamiques mais derrière, les coupelles, briques et surtout compotes en conserve, -88 %, touchent le fond.
Numéros de page :
pp.46-47

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Offrir un confort total pour un sommeil réparateur est l'objectif des maisons spécialisées dans la fabrication de literie très haut de gamme, telles que Hästens (Suède), Savoir (Royaume-Uni) ou Pyranex (France) par exemple. Pour cela, elles ont recours à la fabrication maison ainsi qu'à un choix d’étoffes nobles et de matières naturelles aux propriétés thermorégulatrices et anallergiques connues et reconnues, assurant un sommeil parfait. Elles proposent également un service sur-mesure atteignant parfois la démesure. Mais l'excellence et le luxe ont un coût. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.16, 18

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Le golf peine à séduire le public en 2018. Selon une étude de la Sport's Marketing Survey, le nombre de licenciés est en baisse de 2,4 % entre 2017 et 2018 à travers le monde, avec des chutes aux Etats-Unis, -7,9 %, et au Royaume-Uni, -4,3 %. En France, le nombre stagne à 410 000 licenciés, même si le pratiquant classique est un homme de plus de 50 ans. Afin de se diversifier, le golf mise donc sur une opération séduction à destination des femmes et des plus jeunes afin de repartir de l'avant.
Numéros de page :
pp.14, 16

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En juin 2019, l'enseigne française de parfums et cosmétiques Sephora a rénové son magasin du centre commercial des 4 Temps de La Défense, à Puteaux, en faisant évoluer son dernier concept : New Expérience, déployé depuis deux ans. Sephora y développe la parfumerie de niche en lui dédiant un espace spécifique, fait la part belle aux cosmétiques naturels, et déploie un espace de click & collect prêt des caisses. Toutefois, les écrans se font plus discrets et le digital se veut utile.
Numéros de page :
pp.18-19

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Après des années de crise liée au "horsegate" de 2013 (fraude à la viande de cheval), à un manque de confiance des consommateurs et à une baisse des promotions, le marché français des produits surgelés salés affiche enfin des résultats encourageants, en 2019. Certes les chiffres sont toujours en recul, à - 0,7% en valeur et -1,5% en volume en cumul annuel mobile à fin mai 2019, mais les baisses sont moins importantes qu'en 2018.
Numéros de page :
pp.26-28, 30-33

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Le végétal n'en finit plus de conquérir les consommateurs français : en 2018, le rayon a enregistré une croissance de 24 % à 380 millions d'euros. Nouveau signe de la démocratisation de ces produits alimentaires, le groupe Herta sort en septembre 2019 deux nouvelles références de steaks de soja qui se revendiquent comme des imitations de steak de viande, là où les alternatives végétales restaient pour l'instant privilégiées. Le message est clair, le végétal est là pour remplacer la viande, autant dans l'apparence et la texture que le goût.
Numéros de page :
pp.38, 40, 42

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En recul de 1,1 % en valeur et de 2,5 % en volume entre mai 2018 et 2019, le marché français des céréales semble pourtant repartir de l'avant sur l'exercice 2019, avec une baisse limitée à -0,4 % depuis janvier. Les grandes marques du rayon ne renient pas leurs efforts pour relancer le secteur et leurs initiatives semblent faire effet. Kellogg's mise sur une communication davantage orientée vers ses atouts nutritionnels, tandis que Jordans développe son offre bio aux côtés des spécialistes déjà en place tels que Bjorg ou Terres et Céréales.
Numéros de page :
pp.44-45

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Après un exercice 2018 cauchemardesque fini à -4 %, le marché français du jouet a connu des jours meilleurs au premier semestre 2019. Il repart à la hausse, +0,5 % à 964,4 millions d'euros de CA. Le second semestre, avec la période de Noël, va toutefois rester décisif pour confirmer ce regain, notamment du côté des distributeurs spécialisés. Plusieurs stratégies émergent déjà, comme le déploiement de corners aux Galeries Lafayette pour La Grande Récré, ou la rénovation des points et aussi du site web pour Picwic.
Numéros de page :
pp.42-43

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Décrié pour son omniprésence dans l'alimentation, le sucre paie les pots cassés sur le marché français en 2019. Il s'affiche à 351,96 millions d'euros, en recul de 2 % en valeur et 2,9 % en volume. Son taux de pénétration reste massif, 90 %, mais les consommateurs cherchent désormais la valeur ajoutée dans le produit : le sucre bio enregistre par exemple une croissance de 26 % à 20 millions d'euros, les sucres de spécialité sont en augmentation de 3,8 % à 97,57 millions d'euros.
Numéros de page :
pp.46, 48