Obligations légales et nécessité de verdir leur empreinte carbone accélèrent la conversion électrique des flottes de véhicules des entreprises. Pour celles qui ne sont pas encore engagées, le moment est venu de franchir le pas. Pas de chiffres.

Depuis 2018, les engins en libre-service sèment le chaos sur les trottoirs et dans les rues des grandes villes. Au point qu'à Paris ces gadgets éphémères pour cadres pressés n'ont plus droit de cité.

Deux modèles zéro émission font leur apparition dans le top 10 des voitures de société, du jamais-vu.

La transition est lancée: en février dernier, le Parlement européen actait la fin du moteur thermique pour 2035, autrement dit l'électrification massive de l'automobile. Notre système de production et de distribution d'énergie sera-t-il capable de suivre ? Nous avons posé la question aux experts.

Des règles d'incorporation de véhicules à faibles émissions, voire à très faibles émissions, s'imposent lors du renouvellement annuel des flottes des collectivités. La tache des gestionnaires de parc de véhicules des collectivités est ardue. Le sujet est en effet épineux et complexe, et la facture totale salée. Des arbitrages difficiles sont à effectuer pour satisfaire au mieux les besoins en naviguant dans un maquis d'offres, de prix et de délais. Peu de chiffres.

Banquier puis conseiller du président togolais Faure Essozimna Gnassingbé, le Béninois est associé de la société Atif et dirige la start-up MAuto, dont il veut aussi faire un fournisseur d'énergie. Rencontre.

Contraintes de stationnement, souci de l'environnement, aides à l'achat : tout pousse les usagers urbains vers le deux-roues électrique, d'autant que, enfin, l'offre s'étoffe.

Utiliser l'énergie potentielle de pesanteur des rochers, c'est désormais ce que font des véhicules en dévalant des montagnes !

Patinettes électriques, hoverboards, gyropodes... Le citadin qui souhaite s'essayer à la mobilité douce fait face à une véritable jungle.

L'arrivée dans les grandes villes françaises, notamment à Paris, des offres de location de trottinettes électriques en free flooting (sans stations) nous donne l'occasion d'observer au quotidien un inventaire assez complet des effets pervers de la gig economy. Si nombre des désagréments induits sont visibles au grand jour (conflits d'usage des trottoirs, conduite dangereuse, vandalisme), ceux qui nous intéressent ici en matière de conditions de travail s'observent surtout de nuit, lorsqu'il s'agit de recharger les batteries de ces milliers d'engins dispersés à travers la ville.

L’essence et le diesel continuent d’être plus avantageux pour les clients. Détails. Pas de chiffres.

Avec 130,5 millions de tonnes équivalent CO2 émises en 2022, le secteur des transports est le premier contributeur aux émissions de gaz à effet de serre en France (32 % du total national). Ces émissions étant à 95 % attribuables à la mobilité routière, il est urgent de verdir ces déplacements.