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Marketing stratégique

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Auteurs
En recul de 1,6 % sur la période août 2018-2019 à 325,5 millions d'euros, le marché français des aides culinaires est très dispersé. Si les bouillons, leader de la catégorie, reculent de 4,9 % à 110,5 millions d'euros, de même que les jus de citron, -1,5 % à 52,9 millions d'euros, les laits de coco connaissent un beau succès, +5,5 % à 53,2 millions d'euros, tout comme les assaisonnements, les fécules et épaississants et les fonds et fumets.
Numéros de page :
pp.50, 52

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L'heure est à la relance en 2019 pour le marché français des jus de fruits, toujours confronté à une décroissance, 2,9 % en valeur à 1501,4 millions d'euros, et -5 % en volume. Les jus de fruits doivent se débarrasser de leur mauvaise image trop sucrée et s'adapter aux nouveaux moments de consommation des Français, qui délaissent de plus en plus le petit-déjeuner traditionnel. Les fabricants multiplient donc les nouveautés : jus réfrigérés plus frais, nouveaux fruits et légumes, jus 100 % naturels, ajout d'eau de coco ou de cactus pour alléger les recettes...
Numéros de page :
pp.54, 56

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La vente directe est un concept auquel les marques réfléchissent de plus en plus en 2019. Selon une étude "LSA"/KPMG, 40 % d'entre elles ont déjà mis en place une stratégie basée dessus, ou pensent à y avoir recours. Cette méthode de vente présente des avantages uniques : la marque maîtrise entièrement sa distribution et peut en profiter pour expliquer plus en détails au consommateur son histoire, son savoir-faire, aménager son point de vente en mettant en avant ses machines, etc.
Numéros de page :
pp.20-23

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La baisse de la consommation de viande ne se dément pas en France en 2019, avec un nouveau recul de -2 % entre janvier et septembre pour le boeuf, -4,3 % pour le porc, -5,7 % pour le veau et -6,8 % pour l'agneau. Mais plus inquiétant pour la filière bovine, pour la première fois, les produits élaborés pèsent autant que les produits bruts. Or, ce sont dans ces derniers que se retrouvent les pièces les plus valorisées habituellement, et donc les plus chères.
Numéros de page :
pp.26-28, 30, 32, 34

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Après une année 2018 exceptionnelle à près de 10 % de croissance, le rayon des bières est retombé à des niveaux plus classiques en 2019, en hausse de 4 % à 2,99 milliards d'euros de valeur en septembre. Malgré tout, les brasseurs restent très dynamiques et continuent de multiplier les nouveautés et innovations. Le nombre de références moyennes présentées dans les hypers et supermarchés a plus que doublé depuis 2014, s'établissant à 78. Les bières de spécialité, +8,5 %, et les bières sans alcool, à +6,5 %, restent les deux moteurs du secteur.
Numéros de page :
pp.36-38, 40, 42

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Malgré un CA en valeur stable, +0,9 % à 6,24 milliards d'euros grâce à des prix en hausse, le marché français de la charcuterie continue de perdre des clients, comme en témoigne son recul en volume de -1,9 % en cumul annuel mobile en septembre 2019. La valorisation des produits semble donc plus que jamais de mise pour parvenir à convaincre de nouveau les consommateurs, et le sans-nitrite est l'un des fers de lance de ce mouvement.
Numéros de page :
pp.44, 46, 48

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L'année 2019 s'avère compliquée pour les loisirs créatifs, en recul de 12 % en France entre janvier et septembre 2019. L'essoufflement du slime, des coloriages zen pour adultes, et le dynamisme des jouets collectionnables qui leur grignotent des parts sont autant de points qui ne jouent pas en leur faveur. Pourtant, les spécialistes du rayon ne se montrent pas si inquiets que ça étant donné les dernières années très positives, qui avaient porté les loisirs créatifs à des niveaux historiquement très haut, 261 millions d'euros en 2018 au sein des jeux et jouets.
Numéros de page :
pp.50-52

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Face aux nouvelles attentes des acheteurs français en 2019, 86 % d'entre eux veulent consommer de manière plus responsable, les distributeurs et enseignes s'engagent. En déployant de nouveaux concepts portés sur le sain et le naturel, elles veulent retrouver la confiance des consommateurs et prouver qu'elles ont compris leurs désirs. Ce phénomène s'observe dans tous les secteurs, de l'alimentaire à la décoration en passant par les cosmétiques et le sport, et trouve un écho particulier à l'échelle locale.
Numéros de page :
pp.55-58, 60, 62, 64, 66, 68, 70, 72, 74, 76, 78

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Les évolutions de la société impactent également la mort en 2019. Recul de la religion, importance prise par le numérique, les pratiques évoluent et les services funéraires sont appelés à s'adapter. La crémation est ainsi de plus en plus utilisée et concerne désormais 35 % des décès, contre à peine 1 % dans les années 1980. Le nombre de crématoriums est donc en augmentation, de même que les chambres funéraires.
Numéros de page :
pp.36, 38

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Après avoir longtemps ignoré les mannequins transgenres, les grandes marques de parfums et de cosmétiques, désireuses de prouver leur progressisme, font appel à elles. A condition que leur physique réponde à certaines normes et que leur discours ne soit pas clivant.
Numéros de page :
pp.37-43

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Après un exercice 2018 houleux, terminé à -5 % et 3,4 milliards d'euros de CA, le marché français du jouet espère rebondir en 2019. La période de Noël va une nouvelle fois s'avérer déterminante pour savoir si les spécialistes ont trouvé les solutions pour se relancer. La création d'un groupement d'intérêt économique entre les principaux acteurs français (JouéClub, King Jouet, PicWicToys, La Grande Récré, Jouets Sajou), afin de mutualiser les achats et d'être une plus grande force de négociation auprès des fabricants, constitue déjà un signe fort.
Numéros de page :
pp.8-11

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Depuis début 2019, Stéphane Roche, président du groupe français La Halle, s'affaire à la fusion des enseignes d'habillement La Halle et de chaussures La Halle aux chaussures, au CA cumulé d'un milliard d'euros. 850 magasins sont concernés, et 100 ont déjà opéré la transformation moitié vêtements / moitié chaussures. L'objectif est qu'environ 500 points de vente affichent le nouveau concept d'ici 2022 à 2024. Les premiers retours financiers s'avèrent bons avec des ventes supérieures de 5 à 10 % dans les magasins déjà fusionnés.
Numéros de page :
pp.14-15