Marketing stratégique
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Yvernault, Véronique null
Bulletin : LSA 08 avril 2021
Reporté d'un an à cause de la crise sanitaire, l'Euro de football organisé du 11 juin au 11 juillet 2021 est encore entouré de nombreuses incertitudes à deux mois de l'événement, ce qui complique la stratégie des annonceurs. Certes la manifestation aura bien lieu, mais les modalités restent incertaines. Dans ce contexte, sponsors, licenciés et partenaires ont du modifier leurs plans de lancement de produit et de communication. Toutefois, la manifestation devrait apporter une bouffée d'air et être très suivie dans les foyers. Explications et détails.
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Numéros de page :
pp.32-34, 36, 38
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Picard, Magali null
Bulletin : LSA 15 avril 2021
L'enseigne française de grandes surfaces Intermarché a ouvert le 1er avril 2021 à Paris la première déclinaison intra-muros du Fab Mag, son nouveau concept né il y a deux ans autour du mieux-manger. Ce magasin de proximité, implanté au cœur de Montmartre, propose une offre plus locale, plus bio et correspondant davantage aux tendances de consommation. Fruits et légumes, machines à jus, herbes aromatiques, aliments en vracs et une offre de prêt-à-emporter (dédiée à l'apéro) se partagent le rez-de-chaussée.
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Numéros de page :
pp.22-23
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Belloir, Mirabelle null
Bulletin : LSA 15 avril 2021
Le marché de l'hygiène-beauté n'a pas profité du contexte sanitaire en 2020 et a enregistré un fort recul de 6,5% à 10,26 milliards d'euros tous circuits confondus, malgré des volumes restés stables. La baisse en valeur s'explique par une réduction du prix moyen depuis 2014 et des achats davantage orientés sur les produits les moins chers comme les savons en 2020, au détriment des produits de beauté. Malgré ces constats, des pistes sont particulièrement intéressantes à creuser pour les marques : l'e-commerce, le naturel et le bio, les seniors, le local et l'innovation.
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Numéros de page :
pp.24-26, 28, 30, 32, 34, 36
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Leboulenger, Sylvie null
Bulletin : LSA 15 avril 2021
Restés stables en 2020 sur le marché français, les jus de fruit ont plusieurs défis à relever. Ils ont enregistré des légères baisses de 0,1% en volume et de 0,3% en valeur pour s'établir à 1,55 milliards d'euros, selon Iri (cumul annuel mobile au 28 février 2021 tous circuits des grandes et moyennes surfaces). Le segment du bio se montre particulièrement dynamique. Autre fait notable : l'importance des MDD qui représentent 63,1% du marché.
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Numéros de page :
pp.46, 48, 50-51
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Minisini, Lucas null
Bulletin : M le magazine du Monde 501
La pandémie a contraint les salles de cinéma à baisser le rideau, poussant certains exploitants à repenser leur rôle. Hôtel dédié au septième art, lieux éphémères, séances numériques... La salle se réinvente pour trouver son public.
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Cadoux, Marie null
Bulletin : LSA 2648
Les ventes de produits de la mer ont été bonnes en France en 2020 : +5,3 % pour les produits frais, à 3,5 milliards d'euros, et +2,6 % en volume, à 273,5 milliers de tonnes. Pour autant, le secteur n'est pas rassurée. La fermeture des restaurants a privé plusieurs filières de leur débouché principal. La consommation du grand public s'oriente toujours autant autour du saumon et du cabillaud, mais d'autres espèces peinent à se pérenniser. Le Brexit crée également des incertitudes en ce qui concerne les zones de pêche.
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Numéros de page :
pp.30-32, 34, 36
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Harel, Camille null
Bulletin : LSA 2648
Bénéficiant de l'arrêt de la restauration, le marché français des glaces en grande distribution a enregistré des records de vente en 2020, à +10,3 % et 1,2 milliard d'euros. Près de 440 000 nouveaux acheteurs ont été recrutés, pour un taux de pénétration de 85,4 % dans les foyers nationaux. Un exercice exceptionnel dû au Covid, à un automne doux qui a prolongé la consommation, mais aussi aux innovations du secteur. Selon Nielsen, plus de la moitié de la croissance du marché est en effet lié aux nouveautés : saveurs inédites, ingrédients novateurs, nouvelles gammes...
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Caussil, Jean-Noël null
Bulletin : LSA 2648
Surfant sur une croissance moyenne de 2 à 3 % chaque année, le marché français des piles a profité des confinements de 2020 pour connaître une forte progression : +9,7 % en valeur à 406 millions d'euros dans la grande distribution, et +13 % en volume à 483 millions d'unités commercialisées. Toutes les catégories ont profité de cette période atypique qui a aussi fait apparaître de nouvelles pratiques.
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Godfrain, Marie null
Bulletin : M le magazine du Monde 502
A l’heure où l’univers de la maison connaît une forte croissance, les enseignes de décoration bon marché multiplient les collaborations avec des petites marques et des designers indépendants. Une manière de soigner leur image et de coller aux tendances. Au risque d’uniformiser leur gamme.
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Numéros de page :
pp.60-63
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Picard, Magali null
Bulletin : LSA 2649
Positionnée sur un secteur en plein essor, l'occasion, l'enseigne française Easy Cash peine pourtant à en profiter en 2021. La concurrence de plus en plus rude la prive d'une partie de sa clientèle, et l'entreprise paie également une expérience client longtemps négligée. Pour se relancer, Easy Cash a décidé de lancer une nouvelle enseigne, Everso, symbole de sa montée en gamme. Plus soignés, proposant une offre orientée high-tech et luxe, ces magasins doivent permettre à Easy Cash de redorer son image.
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Numéros de page :
pp.14-15
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Chauvel, Armand null
Bulletin : LSA 2649
Produits de fêtes et d'événements, les vins effervescents (hors champagne) n'ont pas passé une bonne année 2020 en raison du Covid-19. Ils reculent de 7,5 % à 562 millions d'euros. Les épisodes de confinement ont plutôt favorisé les apéritifs. Seuls les vins effervescents étrangers et les sans alcool ont réussi à tirer leur épingle du jeu et terminent en croissance, +9,1 % à 139,6 millions d'euros pour les premiers et +0,6 % à 16,7 millions d'euros pour les seconds.
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Bulletin : LSA 2649
Déjà en difficultés avant la pandémie, le rasage masculin a d'autant plus souffert en 2020. Il recule de 7,2 % à 280,76 millions d'euros en valeur, et de 7,6 % à 33,71 millions d'unités vendues en volume. Toutes les catégories ont souffert, pas aidés par les épisodes de confinement qui ont poussé 27 % des hommes à se raser moins et 18 % à ne plus se raser. Si elles peinent encore à espérer une relance du marché, les marques accélèrent malgré tout sur les tendances porteuses, notamment leur aspect écologique.
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Numéros de page :
pp.58, 60, 62