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Produits agroalimentaires

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Pour Michel Biero, directeur exécutif achats et marketing du distributeur Lidl France, la loi Egalim passée en 2018 dans le but d'améliorer les relations entre agriculteurs et distributeurs n'est pas à la hauteur. Il estime que les premiers vont continuer à être mal rémunérés par les seconds. Les mesures prises concernant les prix bas et les promotions ne lui semblent pas assez fortes, d'autant plus qu'elles reposent généralement uniquement sur le bon vouloir des distributeurs.
Numéros de page :
pp.22-23

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Une loi pourrait désormais obliger les industriels à afficher la qualité nutritionnelle de leurs produits dans la publicité... mais pas encore sur les emballages. Un tout petit pas en avant.
Numéros de page :
pp.12-13

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Une vingtaine d'années après avoir envahi l'étranger, les distributeurs alimentaires français font machine arrière en 2019 et ont tendance a venir se recentrer sur le marché national. Carrefour a revendu 80 % de sa filiale chinoise, Auchan quitte l'Italie et le Vietnam. Trois ans plus tôt, Casino avait déjà renoncé aux marchés vietnamiens et thaïlandais. Le pari de l'internationalisation n'a pas porté ses fruits et les enseignes étaient généralement déficitaires sur nombre de marchés étrangers.
Numéros de page :
pp.8-10, 12

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Au sein d'une catégorie épicerie morose, les produits du monde se distinguent en France en 2019. Le rayon est évalué à 400 millions d'euros et 3,2 % de croissance selon Iri, avec plusieurs segments porteurs. Les produits asiatiques rencontrent ainsi le succès, +4,7 % à 168,27 millions d'euros, grâce à certains événements comme le Nouvel an chinois et les innovations venues du Japon ou de Thaïlande, appréciées des consommateurs.
Numéros de page :
pp.42-45

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L’embargo décrété en 2014 par Moscou sur les produits alimentaires occidentaux a entraîné d’énormes privations. Mais il a aussi poussé l’État à encourager la production nationale.
Numéros de page :
p.39

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Ce classement met à l'honneur les 50 catégories des produits de grande consommation (PGC) ayant enregistré les plus fortes croissances de chiffre d'affaires entre août 2018 et août 2019. La fourchette d'évolution du CA des catégories de ce top 50 est comprise entre 3,2 et 15%, pour un total de 29,59 milliards d'euros. Des performances remarquables dans un contexte morose pour les PGC. Le trio de tête : le foie gras frais, les boissons énergétiques et les bières de spécialité. Revue de détails. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.48-50, 52-54, 56, 58

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Les évolutions de notre mode d’alimentation sont préjudiciables à notre santé. L’industrialisation, le sucre, le gras, les repas pris sans heures fixes, à la va-vite ou en faisant autre chose contribuent à ce que, pour la première fois de l’histoire, le surpoids soit un problème plus répandu que la sous-alimentation. Face à ce constat, l’historienne Susan Pedersen revient sur les processus qui ont abouti à cette situation et appelle à réfléchir à la dimension collective et culturelle de l’acte de se nourrir, moins anodin qu’il n’y paraît.
Numéros de page :
pp.32-37

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Sans sucre, sans additifs, sans lactose, sans gluten, les produits sans se multiplient sur le marché alimentaire français en 2020. En répondant à l'attente de consommateurs en quête de plus de naturel, ils s'imposent comme un segment d'avenir et deviennent même parfois la norme sur certains produits. La charcuterie sans nitrites, bien que plus chère et conservable moins longtemps, est ainsi en croissance de plus de 20 % à 156 millions d'euros, et devient incontournable pour certains industriels.
Numéros de page :
pp.56-57

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Comment se positionnent les pays africains sur les question de souveraineté alimentaire et d'importations agroalimentaires ? Sommaire. Haro sur la dépendance aux importations de riz ! Agrana croit ferme au "made in Algeria". ComaFruits secoue la mangue malienne. Gabon, sur le long chemin de l'autosuffisance.
Numéros de page :
pp.142-144, 146, 148, 150

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En 2020, la tendance est plus que jamais aux produits durables, ou écoproduits, usant d'innovations marketing tant sur les mots employés (pour sortir des "classiques" : bio, vert, naturel, responsable, sain), que sur l'emballage des produits (recyclé, recyclable voire réutilisé mais aussi esthétique !). Tout cela sans tomber dans le "greenwashing". Sommaire. Luc Speisser : "Les designers ne se contentent pas de jolies promesses". Le jeu des sept familles des maques. La quête du matériau plus que parfait. Des formes très soumises aux contraintes de tous ordres.
Numéros de page :
pp.55-60, 62, 64, 66-67
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Auteurs :
Année de parution :
2016
L'auteur, qui a fait depuis plusieurs années, le choix de renoncer aux produits industriels, invite à le suivre dans cette démarche engagée qui vise à mettre fin à l'influence des lobbys de l'industrie agro-alimentaire. Dans ce guide pédagogique et pratique, il propose des conseils pour faire ses courses, choisir les produits locaux et de saison, ainsi que des recettes pour les cuisiner. ©Electre 2016
Editeur :
Collection :
Collection dirigée par Anne Ghesquière
Ma vie en bio
Importance matérielle :
1 vol. (231 p.) : ill. : 19 cm
9782212561203
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Dépendante des importations pour 65 % de ses produits alimentaires en 2010, la Russie a décidé de mettre fin à cette situation. Par choix, mais aussi par obligation, depuis que des sanctions économiques internationales pèsent sur elle suite à son annexion de la Crimée en 2014. Les anciens produits alimentaires importés doivent maintenant être produits dans le pays. L'Etat s'est mis à soutenir davantage les entreprises agricoles, les agro-holdings sont devenues plus puissantes.
Numéros de page :
pp.44-47