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Après une longue période de vaches maigres, l'inflation a favorisé le retour des pâtes molles, plus accessibles en prix. Profitant de cette embellie, les industriels s'organisent pour préparer le futur. Détails. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.28-33

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Le marché français des biscuits sucrés flirte avec le rouge en 2019. S'il progresse toujours en valeur, +1,3 % à 2,23 milliards d'euros, il se montre déjà plus timide en volume, -1,1 %. Les cookies et biscuits pour petit-déjeuner plombent notamment le rayon. Si certaines marques parviennent à rester très dynamiques, dont Ferrero avec ses Nutella Biscuits ou Mondelez avec ses Granola nouvelle formule, la solution pour se relancer semble tout de même être le bio.
Numéros de page :
pp.38-39

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En 2019, le groupe familial italien Ferrero, numéro un de la pâte à tartiner avec 10,7 mds EUR de CA, dont 1 ,2 mds en France et l'américain Mondelez International, leader mondial des biscuits avec 23,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires, dont 1,8 md en France, sont à l'offensive. Alors que le premier a lancé au mois de mai son deuxième biscuit au Nutella, le second vient de se lancer dans la pâte à tartiner avec sa référence Patamilka. Comparaison des modèles économiques et des stratégie d'attaque de ces deux géants de l'épicerie sucrée. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.20-22

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A peine stable en valeur, avec un CA de +0,1% (2,6 milliards d'euros), et en recul en volume, sur un an, au 28 juillet 2019 (source Iri), le marché français de la confiserie doit s'adapter aux nouvelles attentes des consommateurs. Les marques déploient leurs efforts, en imaginant des recettes naturelles. A côté des géants, des start-up et des marques plus traditionnelles travaillent également leurs produits, leurs formats et leur marketing. Le recyclage s'invite également dans les réflexions. Explications avec des exemples de stratégie. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.50, 52

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Décrié pour son omniprésence dans l'alimentation, le sucre paie les pots cassés sur le marché français en 2019. Il s'affiche à 351,96 millions d'euros, en recul de 2 % en valeur et 2,9 % en volume. Son taux de pénétration reste massif, 90 %, mais les consommateurs cherchent désormais la valeur ajoutée dans le produit : le sucre bio enregistre par exemple une croissance de 26 % à 20 millions d'euros, les sucres de spécialité sont en augmentation de 3,8 % à 97,57 millions d'euros.
Numéros de page :
pp.46, 48

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Leader toujours incontesté sur le marché de la pâte à tartiner, Nutella accuse pourtant le coup en 2020 face à la concurrence. Son CA 2019 a reculé de 4,4 % à 307 millions d'euros, écorné par l'arrivée de nouvelles pâtes se voulant plus saines et utilisant des produits locaux et bio, à l'image des produits de Lucien Georgelin ou de Funky Veggie. La start-up Graine de choc se démarque également en affichant sur sa pâte un nutri-score, indicateur rare dans le rayon.
Numéros de page :
pp.40-47

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Afin de garder son indépendance sur le marché du café et faire face à la concurrence du géant Nestlé (19 milliards d'euros de CA dans les boissons chaudes), le groupe familial italien Lavazza mise sur l'international. L'entreprise se positionne comme le numéro trois du marché du café, avec un CA de 1,87 milliards d'euros, en croissance de 9,3%. La France compte parmi les marchés importants pour sa croissance future, et représente déjà un CA de 407 millions d'euros pour Lavazza. Pour continuer à se positionner sur ses marchés étrangers, l'entreprise mise sur des opérations des acquisitions.
Numéros de page :
pp.18-20

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Comment satisfaire les nouvelles tendances de consommation et se positionner sur les segments émergents ? C'est la question à laquelle sont confrontés les industriels de l'agroalimentaire français en 2019. Et pour beaucoup d'entre eux, la réponse passe par la collaboration ou l'acquisition d'autres entreprises, souvent plus jeunes, tournées vers l'innovation et considérées comme des "pépites".
Numéros de page :
pp.8-10, 12

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En recul de 1,1 % en valeur et de 2,5 % en volume entre mai 2018 et 2019, le marché français des céréales semble pourtant repartir de l'avant sur l'exercice 2019, avec une baisse limitée à -0,4 % depuis janvier. Les grandes marques du rayon ne renient pas leurs efforts pour relancer le secteur et leurs initiatives semblent faire effet. Kellogg's mise sur une communication davantage orientée vers ses atouts nutritionnels, tandis que Jordans développe son offre bio aux côtés des spécialistes déjà en place tels que Bjorg ou Terres et Céréales.
Numéros de page :
pp.44-45

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Le marché français du chocolat s'est établit à 4 milliards d'euros, en léger recul de 0,59%, en cumul annuel mobile à fin mai 2019, en grandes et moyennes surfaces, selon Iri. Côté tendances, les tablettes continuent de se valoriser. Sous la pression des consommateurs, les fabricants améliorent les recettes, cherchent de nouveaux ingrédients, afin de proposer des produits plus qualitatifs, plus équitables et moins nocifs pour l'environnement. Détails et données chiffrées, dont les parts de marché des principaux fabricants.
Numéros de page :
pp.50, 52, 54, 56, 58, 60-61

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Le petit déjeuner pris par 96 % des français à domicile tend à devenir plus naturel et écologique. Les marques s'adaptent à l'instar de Nesquik qui crée des emballages en papier, de Materne qui utilise des pommes issues de vergers écoresponsables, d'Heudebert qui propose des biscottes bio... En 2019, le CA du petit déjeuner est de 14, 5 milliards, celui du petit déjeuner bio de 305 millions d'euros. La progression de ce dernier est deux fois supérieure à celle du petit déjeuner non bio. Les consommateurs veulent des produits plus sains, moins sucrés.
Numéros de page :
pp.28-30, 32, 34, 36

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La Chandeleur, fêtée par 66% des Français est une période importante pour les fabricants du secteur Francine qui détient 35% des PDM pour la farine, Béghin Say (sucre), Lactel (lait), Loïc Raison (cidre), Nutrimaine (chocolat en poudre) et Lessieur (huile) qui se sont unis dans le comité Crêpes en fête pour une meilleure mise en avant en magasin à coût partagé. Les pâtes à tartiner profitent également de cette fête puisque les quatre semaines de la Chandeleur représentent 11 à 12 % des ventes annuels. Cela permet également aux entreprises artisanales de se faire connaître. Graphiques.
Numéros de page :
pp.38-40, 42

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Le marché des produits alimentaires italiens est en croissance en France, début 2020. 33% des Français en consomment et 46% des distributeurs proposent ces produits. Ils sont associés à une cuisine saine, à des ingrédients de qualité et des recettes traditionnelles avec en prime une touche de sophistication. L'offre est également monté en gamme et a misé sur des campagnes de communication pour poursuivre son développement. Barilla, Mutti, Eataly, Ital Passion, Costa D'oro... Plusieurs entreprises parviennent à se démarquer dans la fabrication et la distribution des produits italiens.
Numéros de page :
pp.24-26, 28, 30-33

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En 2020, pour séduire les consommateurs, les fabricants français de l'épicerie sucré misent sur des produits locaux et des recettes régionales. Les packagings et la communication sont également travailler pour faire ressortir l'histoire du produit. Les consommateurs sont attentifs à la qualité des ingrédients, à l'agriculture française, à la traçabilité et au bio pour leurs achats. En 2019, le CA du secteur était de 16,9 milliards d'euros. Zoom sur les confitures éthiques des Monts du Lyonnais, sur le lait du chocolat Milka et sur les douceurs provençales du confiseur Doucet.
Numéros de page :
pp.30-32, 34, 36, 38, 40-42, 44

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En 2020, le fabricant et distributeur français d'aliments bio Bjorg, Bonneterre et Compagnie, veut se donner une visibilité accrue en magasin, dans les médias et sur les réseaux sociaux. Une gamme pour enfant sera développée, ainsi qu'une offre familiale en épicerie salée. Les packagings de ses produits existants seront rénovés. En 2019, sa croissance en bio dans les grandes et moyennes surfaces (GMS) n'a pas dépassé les 5%, alors qu'elle y réalise 80% de son CA de 372 millions d'euros, en raflant 20% des parts de marché.
Numéros de page :
pp.18-19

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Malgré les tendances du "sain" et du "moins sucré", le groupe Ferrero France, spécialiste de la biscuiterie et de l'épicerie salée, ne connaît pas la crise en 2019. Ses références Nutella Biscuits, Nutella B-Ready ou Delacre sont toujours autant prisés des consommateurs. Son CA s'affiche ainsi à 1,4 milliard d'euros, en hausse de 7,5 %. Directeur général du groupe, Jean-Baptiste Santoul défend même l'absence de conservateurs dans son produit phare, le Nutella, et la traçabilité complète de l'huile de palme utilisée.
Numéros de page :
pp.18-20, 22

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Le fabricant et distributeur français d'aliments bio Bjorg, Bonneterre et Compagnie, filiale du groupe néerlandais Wessanen, a subi quelques changements organisationnels à l'été 2019. Le groupe est désormais organisé en deux entités : Bjorg et Compagnie, dédié à la grande distribution, et Bonneterre et Compagnie, centré sur les circuits spécialisés. Maintenant que l'organisation est claire, l'entreprise va accélérer sur ses marques afin de les redynamiser et d'affirmer son statut de pionnier de l'alimentation bio.
Numéros de page :
pp.18-19

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Entre 2020 et 2021, 30 shops-in-the-shop de l'enseigne d'électroménager et d'électronique grand public Darty seront déployés au sein des hypermarchés de son partenaire, Carrefour. Le groupe de grande distribution proposera ainsi une offre élargie avec des produits techniques pour tenter de reprendre des position sur le non-alimentaire. Pour Darty, l'opération représente un moyen de profiter d'implantations stratégiques et de continuer à mailler le territoire. Détails. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.26-27

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L'industriel américain Heinz ambitionne de s'imposer en 2020 comme le numéro un des sauces froides du marché français, jusqu'à présent dominé par Amora, marque française centenaire appartenant au géant anglo-néerlandais Unilever. Pour cela, il déploie une stratégie en 4 axes : offrir des produits bio, allégés en sucre et en sel pour coller aux attentes des Français ; se diversifier sur le segment des sauces pour pâtes ; célébrer son 150e anniversaire à travers une communication dédiée.
Numéros de page :
pp.28-29

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La confiserie limite les dégâts uniquement grâce au chocolat en 2020. Entre août 2019 et 2020, le marché affiche une croissance de 1,4 % à 3,89 milliards d'euros, mais seuls les tablettes et confiseries au chocolat, les deux catégories phares du rayon, ont fini dans le vert. Le confinement a fait plonger les ventes de chewing-gums, -15,8 %, de confiseries de sucre, -14,5 %, et de barres céréalières, -12,6 %. Les acheteurs se sont recentrés sur des achats essentiels pour le confinement, délaissant ce rayon. L'absence des enfants lors des courses a également freiné les achats non programmés.
Numéros de page :
pp.72, 74

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Grâce à une belle progression dû au confinement, le marché français des céréales pour petit-déjeuner termine l'exercice avril 2019-avril 2020 en hausse, +4,7 % à 729,7 millions d'euros de CA. Les céréales chocolatées, première catégorie du secteur, en ont le plus profité, devant les pétales de maïs, les céréales à préparer et le muesli. Pour les marques, le but va désormais être de fidéliser les nouveaux clients. Elles misent pour cela sur des produits plus sains, autour du bio, du sourcing local ou de la réduction de la teneur en sucre.
Numéros de page :
pp.34-35

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En difficultés depuis plusieurs années face à des consommateurs français soucieux de manger plus sain, le sucre a connu un net rebond en 2020 grâce au confinement. Entre mars et mai, les ventes ont bondi de 30 % en valeur et 29 % en volume, le marché s'établissant ainsi à 374,14 millions d'euros (+7,1 %) en août sur un an. Toutes les catégories sont concernées, depuis le sucre cristal jusqu'au sucre en poudre, en passant par les aromatisés ou l'extra-fin. Même le bio, qui aurait pu être "écrasé" par cette vague, a confirmé qu'il était porteur.
Numéros de page :
pp.48-49

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Le confinement lié au Covid-19 a boosté les ventes de produits pour le petit-déjeuner. Entre mai 2019 et mai 2020, le CA de l'univers du petit-déjeuner a progressé de 3,1% pour atteindre 15 milliards d'euros. Les ventes de boulangerie-viennoiserie s'élevaient à 2,2 milliards d'euros, celles des boissons chaudes à 3,5 milliards d'euros, celles des céréales à 734 millions d'euros et celles des tartinables à 2 milliards d'euros. Les produits les plus plébiscités sont bio, naturels et d'origine française. Graphiques. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.30-34, 36, 38

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Pour profiter du plein potentiel de la tendance montante du végétal, l'industriel français Bonduelle, spécialiste de la transformation des légumes en conserve, surgelés et produits frais, reprend la parole à l'automne 2020 avec une campagne publicitaire où il se positionne comme le partenaire des Français pour manger mieux. La simplification de la liste de ses ingrédients, l'origine France et le bio constituent des leviers de développement majeurs. Détails. Données chiffrées : répartition du CA de l'entreprise (2,85 milliards d'euros sur l'exercice 2019-2020) par activité.
Numéros de page :
pp.32, 34

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Dans un contexte lié à la crise sanitaire du Covid-19, 1,22 milliards d'euros ont été levés par les start-up en France entre avril et juin 2020. Les fonds d'investissement s'adaptent aux demandes des consommateurs pour des produits responsables à travers des circuits courts.
Numéros de page :
pp.16-19

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Le secteur des biscuits sucrés (2,26 milliards d'euros de CA en cumul annuel mobile à août 2020) a pâti du fait-maison lié au confinement du printemps 2020, en particulier les biscuits petit déjeuner (-12,3% de CA en valeur en cumul annuel à août 2020). Les géants du biscuit, peu innovants depuis 1 an et demi, misent désormais sur des nouveaux produits plus responsables et sur le drive. Données chiffrées : évolution du CA des différents segments du secteur, part de marché des principaux acteurs. Détails.
Numéros de page :
pp.36-37

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D'origine néerlandaise, le groupe Wessanen, propriétaire des marques alimentaires bio Bjorg, Alter Eco ou Clipper, change de nom fin 2020. Il se fait désormais appeler Ecotone, une dénomination qui sied mieux à sa volonté de protéger et nourrir la biodiversité. Ecotone a également rappelé sa volonté d'accélérer encore davantage dans le développement d'un modèle alimentaire alternatif, en continuant à promouvoir le bio, le végétal et les produits sains. Cette stratégie passe notamment par la R&D ainsi que la croissance externe.
Numéros de page :
pp.22-23

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Bulletin : LSA 23 mai 2024
Pour relancer leurs ventes dans un contexte de crise de la consommation et du modèle agricole, les acteurs du bio multiplient les efforts. Malgré le manque. de soutien des pouvoirs publics, ils ont foi dans la pertinence d'un modèle qui incarne, selon eux, l'agriculture de demain. Encore faut-il regagner la confiance de consommateurs en perte de repères. Sept acteurs emblématiques du bio nous livrent leur vision. Sommaire. Le bio cherche la voie pour sortir de la crise. "Il y a eu une pause mais cela va redémarrer". "Notre objectif est de proposer le bio le plus accessible".
Numéros de page :
pp.47-50, 52-53, 56-58, 60, 62-63

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Bulletin : LSA 30 mai 2024
Grâce à une promesse simple et à un prix accessible, le lait engagé continue d'être dynamique quand la plupart des produits de grande consommation responsables sont à la peine. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.28, 30

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Bulletin : LSA 18 mai 2023
Date parution pério
2023-05-18
Catégorie plaisir par excellence, les produits salés pour l’apéritif restent dynamiques. Toutefois, l’inflation pousse les marques à opérer des arbitrages au sein de la catégorie. Données chiffrées. Graphiques.
Numéros de page :
pp.32-34